X. Delamarre voit dans ce mot la suppression d'un P initial, et déduit une ancienne forme "*pico" à rapprocher du latin "picus/pica" (pivert/pie). J. Lacroix, avec les noms en "*ico-randa", les déesses de sources ou de rivières, Icauna et Icovellauna, voit plutôt un terme désignant l'eau. pour ce dernier, le rattachement à "pic", est sémantiquement indéfendable.