•
Julien l'Apostat : Lettres, 191, Traduction de : J. Bidez, 1960, Paris, Les Belles Lettres
Texte:
Le Rhin, certes, ne fait point tant aux Celtes lorsqu'il entraîne, comme le vengeur qui convient à l'adultère ; par contre, s'il en est où il reconnaît une pure naissance, il les fait surnager sur ses flots et les remet dans les mains de leur mère tremblante comme un témoignage irrécusable d'un hymen chaste et sans reproche auquel il accorde, dans le salut de l'enfant, sa digne récompense.