Frappés de stupeur par cette victoire si rapide qui tenait du miracle, les Gaulois restèrent d'abord interdits, immobiles; paralysés à leur tour par la peur, ils étaient comme incapables de réaliser ce qui s'était passé, puis ils craignirent un piège et finirent par dépouiller les morts et entasser les armes selon la coutume de leur pays.