Les funérailles, par rapport à la civilisation gauloise, sont d'une grande magnificence : tout ce que le mort a chéri, pense-t-on, on le jette dans le feu, même les animaux et, il y a peu de temps encore, quand les funérailles étaient régulières, on brûlait, avec le mort, les esclaves et les clients qu'on savait lui avoir été chers.