Patrice a écrit:Salut,
Euh... Fut un temps où j'aurais pu te retourner le compliment.
Sinon, tu as cité La Mort peut danser de Jean-Marc Ligny. J'ai lu ce livre quand il est sorti, et quand Dead Can Dance pouvait encore prétendre être un grand groupe.
Intéressant, comme concept. La partie historique m'avait semblée bien plus solide et construite que la partie "actuelle". Bref, j'en étais ressorti avec une impression mitigée, alors que j'adorais DCD et j'aimais beaucoup le style de Ligny.
A+
Patrice
J'ai découvert Dead can dance grâce au roman de Ligny, comme quoi !
C'est un exercice quand même très casse gueule de vouloir faire quelque chose qui a une base historique crédible.
On peut aussi jouer avec un mythe, une légende comme Abraham Merritt, dans Rampe, ombre, rampe = Creep, Shadow, Creep avec la légende de la ville d'Ys transposée aux Etats Unis dans les années 30 ou le American Gods de Neil Gaiman où l'auteur convoque toutes les mythologies pour dresser un portrait au vitriol de l'Amérique et de l'histoire de l'humanité. Il arrive à raconter l'essentiel de la tragédie de la traite des Noirs en moins de dix pages.