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Conservation des objets archéologiques, conférence Tintignac

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Modérateurs: Pierre, Guillaume, Patrice

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5 messages • Page 1 sur 1

Conservation des objets archéologiques, conférence Tintignac

Messagede Cancrelune » Dim 29 Jan, 2006 17:36

Voici si celà vous interresse le compte rendu rédigé d'après les notes que j'ai prise durant la conférence qui a eu lieu au lycée agricole de Naves proche du site des Arenes de Tintignac en Corrèze.

Sur ce site les archéologues ont découvert un dépot rituel d'épées, chaudrons et de carnyx, uniques jusque là puisque entiers.


Monique DRIEUX-DAGUERRE
Laboratoire Materia Viva (Toulouse)
Conférence du 17/12/05


CONSERVER ET RESTAURER
LES OBJETS ARCHEOLOGIQUES




Généralité sur l’objet archéologique

Objets protégés par la Convention de Malte (1).
Suite à la fouille : étude, conservation, publication.
In situ, il est difficile d’identifier la forme et la matière (métal, céramique…) de l’objet.
Problème des dépôts de fouille : fragilité de la matière, quantité de matériel, fragments.


La problématique de la conservation/restauration est apparut en premier lieu en Angleterre puis en France dans les années 70’, suite aux nombreux objets issus des fouilles urbaines.
En France le premier manuel sur la conservation des objets en archéologie date seulement de 1990 (Paris I).
Il s’agit d’une discipline en évolution constante et d’une véritable profession. Elle se développe depuis 30 ans environ.


Qu’est ce que l’objet archéologique ?
Pour comprendre l’ordre de dépôt, la fouille doit aller lentement.
Double relation :
-témoin culturel dans un contexte archéologique
-matériau et milieu d’enfouissement.


Lors de l’enfouissement : transformation chimique et physique, on revient chimiquement à la matière première (ex.: aspect des minerais /objets rouillés).


Intervention sur le terrain :
-Identification de l’objet (il peut être complexe, l’oxygène et la lumière peuvent le dégrader).
-Préservation des données
-Préserver l’objet contre les dégradations ultérieures.
-Stockages dans des emballages qui ne détériorent pas l’objet.
-Enregistrement et documentation.

Pour cela, il faut mettre en place des protocoles dès la fouille.


Identification de l’objet :

-Eléments endogènes et exogènes : assemblement des différents matériaux, tout est présent ou manque t’il des éléments d’assemblages ? Possibilité de matière organique, rôle des interstices, des soudures. Nécessité de ne pas brosser trop vite les surfaces durant la fouille.
-Objets en connexion : d’un point de vu électrochimique, il y a un lien entre les objets (ex. : le fer donne des ions au cuivre donc il en perd). La fouille entraîne une perte d’information donc importance du rôle de la photographie des relevés, des dessins, de la prise des coordonnées des objets.
-Evaluer l’état de conservation : rôle de la restauration.


Préservation des données :

Microfouille nécessaire.
-Recherche des éléments en connexion, éléments trace.
-Séchage (perte en eau)
-Dégagement : en motte avec ajout de produit consolidant mais réversibles et chimiquement neutre. Le plâtre conviendrait pour le métal mais abîme la matière organique et apporte de l’eau. Le Cyclododécane est apparut en Allemagne et est utilisé depuis 4 ou 5 ans en France. Il forme une coque sur les objets et disparaît avec un simple séchage au sèche-cheveux.

Les carnyx de Tintignac ont commencé à etre dégagés de la motte un an après la découverte : cela ne pose pas de problème si entre temps la conservation a empêcher la corrosion et a préserver la matière organique : besoin de la compétence des chercheurs.


Préservation des dégradations ultérieures :

-Sur le terrain : stockage simple, sécher et préserver des chocs, il faut être rapide.
-Sur la base de fouille : marquage durable et chimiquement neutre, rendre le transport possible.
-Repérage des matériaux : les objets sensibles doivent rapidement être orientés vers une structure de restauration.


Comprendre les déformations physiques :
Il y a parfois plus de corrosion que de métal.
Coup d’épée : la section coupée présente la même corrosion que sur la surface, on en déduit que ce coup a été donné il y a longtemps, on sait que c’est un rituel lors du dépôts.
Conserver le remplissage des carnyx : les yeux peuvent être tombés dans le sédiment.





Que peut-on attendre d’un laboratoire ?

Il existe une dizaine de laboratoires associatifs.
Au départ, le laboratoire de Toulouse a employé beaucoup d’archéologues, donc beaucoup d’interventions sur le terrain.
Dans l’idéal, continuité de la fouille au laboratoire, mais soucis financiers.


Un laboratoire a plusieurs rôles :
-La conservation curative des objets,
-Leur préservation ou conservation préventive,
-Leur restauration,
-La mise en place d’études, de formation et de conseils.



La conservation curative des objets :

Chlorure de carbone ( ? noté « C ») qui entraîne la destruction de l’objet : acide chlorhydrique car O² +H2O.

-Mise sous vide pour le cuivre :
En attendant les chercheurs et restaurateurs, objets protégés de la corrosion. On se sert aussi d’applications d'inhibiteur pour les alliages de cuivre.

-Déchlorysation des objets de fer :
Avant la restauration, l’objet est radiographié puis il faut éliminer la surface corrodée qui gène la suite de l’étude.
Immersion des objets dans des bains chimiques durant 8 à10 mois pour enlever la corrosion. Ne pas oublier de bien identifier l’objet avec un n° indélébile.
Bain de sulfite de sodium (sulfite alcalin), les objets sont mis dans des sachets individuels identifiés.
Les bains nécessitent de la surveillance : selon les prélèvements, on adapte les dosages. Il y a des paliers : si on ne constate pas d’augmentation de certaines substance chimique, cela indique que les objets sont nettoyés. On passe alors au bain de rinçage dans de l’eau déminéralisée durant la moitié du temps de trempage. On fait des test de PH : il doit être égale à celui de l’eau déminéralisée.


La conservation préventive :

Actions directes sur l’environnement.
-On ne peut pas utiliser n’importe quel type d’emballage, certains plastiques dégagent des chlorures. Les laboratoires se servent d’emballage de mousse blanche injectée sous azote donc sans O². Certaines boîtes ont des pellicules qui maintient l’objet une fois la boîte refermée : « boîtes du Mont Beuvray, mais elles sont coûteuses et ne peuvent pas être utilisée pour tous les objets.
-Il faut prendre en compte le taux d’humidité : le bois à besoin de 50% d’humidité, le fer doit être a -20% (c’est très peu) et la température. On place dans les emballages des sachets de silice avec des indicateurs d’humidité, mais sans maintenance, certains sachets prennent l’humidité pour la redonner au sachet, il y a donc corrosion.


La restauration :

La restauration commence dès la fouille, puis à lieu le nettoyage pour étude, la restauration pour la publication et éventuellement pour l’exposition.


Problème de la limite de la surface originelle :

-Electrolyse : perte de toutes les informations de surface (partie conductrice : noyaux). Les dimensions au moment de l’abandon prennent en compte les résidus verts.
Quand la surface métallique est chimiquement stable, on parle de patine. Il s’agit d’une couche de corrosion très hydratée, sa formation dépend de l’alliage de départ et du traitement contemporain à l’objet.
-Surface originelle : il y a dessus des informations appartenant à l’objet et son histoire : son utilisation, son entretien.
(Ex : surface grise métallescente : objets brûlés, couche incendiée, objets appartenants à des tombes à incinération).
Avant, l’utilisation de moyens mécaniques d’abrasion (meulettes…) entraînaient une perte de l’information. Aujourd’hui, on utilise le micro sablage sous observation binoculaire, on ne touche plus à la surface des objets.
Dans le cas d’un objet métalliques ayant subis une incinération, a-t-il était placé dans les cendres pendant ou après la crémation ? Pour répondre, mise en place de protocoles en collaboration avec l’école de chimie de Toulouse, études des différentes couches.
Le « non-nettoyage » des objets reste une phase importante de la restauration.


La restauration : des choix esthétiques :

La restauration influence l’aspect esthétique des objets.
(Ex. : boucle de ceinture avec entrelacs celtiques).


La formation :

Dans quelle mesure doit-on être formé sur les objets avant leur restauration ?
Il faut connaître comment les objets étaient à l’origine car durant la micro fouille, on doit comprendre ce que l’on doit enlever avant de le faire.
Ex. : plaquage en argent sur du fer : ça ne se voit pas (gris /gris), certains savent que le fer était bleui par chauffage pour créer un contraste, de plus ce chauffage augmente ses possibilités de conservation.





3 exemples de méthodes d’observation de laboratoire

Les loupes binoculaires :
-Identifier les matériaux.
-Définir les altérations.
-Définir les états de préservation.

On détermine ainsi le choix des traitements.


La radiographie :
Elle permet de savoir comment est la matière à cœur.
(Ex. : les carnyx présentent différentes densités, des trous, des fissures.)
Elle donne des indices sur les techniques de fabrication de l’objet.



La radio fait apparaître des densités blanches sur les contours : assemblage chimiques, des soudures (à confirmer par l’analyse).
Le rond blanc est la perforation où l’œil se place, le blanc est très prononcé : œil en dessous ? A cet endroit repli intérieur de la tôle et soudure : maintient de l’oreille.
Anneaux qui maintiennent les tôles : assemblage mécanique.


Les analyses :
Nature de l’alliage ? Des soudures ? Mais aussi analyse des produits d’altération.
Les alliages cuivreux ont la propriété de conserver les restes organiques (bois, tissu, cuir).
(Ex.. : boucles de ceinture avec micro fragments de tissu, on peux observer leur qualité.)





Le dépôt rituel du site de Tintignac

Dépôt d’objets unique dans le monde celte et dans un état de conservation exceptionnelle.
A ce jour, on n’avait encore jamais retrouvé de carnyx avec leurs oreilles ni aucun avec leur tube.
Depuis la découverte des carnyx de Tintignac, beaucoup de chercheurs réexaminent les bouts de tôle des réserves archéologiques, certains morceaux pourraient être des oreilles d’où l’importance des emboîtements.

Un chercheur universitaire d’Edimbourg a publié sa thèse sur les carnyx lors de la découverte de Tintignac, il est venu voir les objets, ainsi qu’un spécialistes de la métallurgie ancienne de l’université du Mirail de Toulouse. Ces deux spécialistes ont apporté beaucoup d’informations aidant à comprendre les carnyx. Le chercheur d’Edimbourg a avancé l’idée de polychromie (fer/argent).

« La dépose des objets (2)
Le laboratoire de conservation et de restauration Materia Viva de Toulouse est intervenu sur le site de Tintignac pour aider au dégagement et prélever le mobilier métallique. Les précautions élémentaires lors du dégagement consistent à préserver les matériaux existants et l'intégrité physique des objets. Des consolidations ponctuelles sont réalisées sur les parties très fragmentaires, par infiltration en cours de fouille de résine acrylique (Primal AC 33®) ou bien par renfort de fibre non tissée polyester imprégnée de Paraloïd B72 ® (résine acrylique) après séchage naturel des objets. Le prélèvement des objets fragiles ou en fragments est opéré par pose de cyclododécane, hydrocarbure saturé appliqué à chaud, avec renfort de gaze de coton. Les objets sont ensuite enveloppés dans du film étirable polyéthylène, avec étiquetage au marqueur indélébile sur support imputrescible en polyéthylène également (non tissé Tyvek®). Le stockage est conçu dès la fouille pour le transport : en bacs gerbables et blocages de chips ou film de polyéthylène. Les produits chimiques utilisés sont facilement réversibles et les matériaux d'emballage sont imputrescibles, hydrophobes et chimiquement neutres pour la conservation de ces pièces ; en outre ils sont radio transparents et permettent la radiographie et l'examen des pièces en limitant les manipulations. »
On a attendu un an avant le début du démontage des carnyx car leur présence est indispensable, le démontage est en effet l’étape la plus décisive et la plus risquée.
Pour récolter un maximum d’information, il y a un besoin conséquent de temps et de moyen, ainsi qu’une mise en place de protocoles.


Casque 456, tôle de fer et cuivre :

Alliage cuivreux et plusieurs éléments en fer, corrosion entre les deux.
Dégradation mécanique car la tôle est fine.
La radiographie a montré une tige centrale : elle maintient le pommeau sur les éléments du casque. Elle est en fer et en plusieurs fragments.

Petites rivets.
Finesse remarquable de la tôle de cuivre des « cabochons » à décor floral.
Certains casques du trésor de Tintignac ont conservé leur jugulaire maintenue par des rivets en fer (trace de cuir).


Carnyx 463 :

On a retrouvé dans la « gueule » du carnyx le fragment de l’extrémité d’une épée et les fragments du fourreau, comme si le carnyx avait été « égorgé ».
Phalères. Collier de serrage en partie éliminé.
Mise en place de bandelettes pour le consolidé et remplacement lors de la micro fouille.


Å’il du carnyx 463 :

On observe une matière noire fibreuse et du vert. Lignite ? Etain ? Argent ?
Cas de plusieurs matériaux, il faut savoir comment ils étaient maintenus : colle animale ? végétale ? Va-t-on en retrouver la trace ?


Carnyx à tête de sanglier :

Les archéologues ont d’abord pensé à des enseignes en forme de sanglier car les tôles étaient superposées et écrasées. Mais les radiographies et la micro fouille ont montré qu’il s’agit également de carnyx.



Es-ce que la superposition est due à l’écrasement ou est-ce le mode de fabrication, d’assemblage ? Il semblerait qu’il y ait eu soudure entre les tôles et chauffage, à confirmer par analyses. D’autres éléments en relation : possibilité qu’il s’agisse d’éléments de soudure.
Trou pour l’oreille : clavette pour l’empêcher de redescendre ? Ou élément décoratif, Les deux sans doute, car on remarque que dans l’art celte les colliers de serrage sont souvent éléments du décor.


Tube et collier de serrage

Inversement de la tôle sous le collier : consolidation en plus du collier ?


Ces objets sont patinés (surface métallique chimiquement stable). Ont-ils reçut un traitement (ex. : polissage)? Seules les analyses pourront permettrent d’en savoir plus.

En Ecosse, de chercheurs ont fait des reconstitution de carnyx : le son passe par les oreilles et par la gueule, et il est différent selon le type d’alliage employé.
L’université d’Edimbourg et l’équipe du Louvre ont fait des analyses et des reconstitutions de carnyx.
Materia Viva collabore avec l’ I.U.T et l’Ecole de Chimie de Toulouse pour ce qui concerne l’étude des aspects métallurgiques.




(1) Convention de Malte : Le principe de base était de promouvoir la compréhension générale de la valeur du patrimoine archéologique et de faciliter la coopération entre les acteurs concernés.
Lors de l'élaboration, en 1992, de la Convention européenne révisée pour la protection du patrimoine archéologique, couramment appelée 'Convention de Malte', les Etats membres rappelèrent que le patrimoine archéologique était essentiel pour la connaissance du passé des civilisations mais qu'il était aussi de plus en plus menacé. Les politiques d'aménagement du territoire et de développement culturel devaient absolument prendre en compte la nécessité de protéger le patrimoine archéologique. Il incombait à la fois aux Etats membres et à tous les pays européens, soulignait-on, d'assumer cette responsabilité. La confrontation et l'échange d'expériences étaient ainsi inscrits dans les programmes de mise en valeur du patrimoine culturel approuvés à Malte en 1992, l'un d'eux étant plus particulièrement axé sur l'archéologie urbaine. Ce programme a débouché sur un rapport concernant la situation de l'archéologie urbaine dans les divers pays européens, qui, à son tour, a conduit à l'élaboration du présent code de bonne pratique.
« Article 3 Une idée neuve est l'emploi de méthodes d'investigation sur les monuments et sites aussi peu destructrices que possible, plutôt que les fouilles. Cette disposition est rarement applicable aux fouilles qui ont pour but de sauver des vestiges mais elle adresse un avertissement aux chercheurs qui seraient tentés de manifester trop de zèle.
Article 4Une clause intéressante stipule que les vestiges exhumés ne doivent pas être exposés sans que des mesures appropriées aient été prises pour les protéger.
Les éléments archéologiques doivent être conservés dans les meilleures conditions possibles, ce qui peut être l'une des tâches les plus difficiles des musées, car les données de la recherche archéologique ne sont plus les mêmes qu'il y a quelques années. La science archéologique moderne ouvre de nombreuses perspectives nouvelles, pourvu que la manipulation et le stockage ne compromettent pas ces possibilités.
Article 5 L'idée de la conservation intégrée est désormais pleinement établie. »
Source : http://www.coe.int/T/F/Coop%C3%A9ration ... rotzig.asp
Texte complet sur : http://perso.wanadoo.fr/anact.collectiv ... vmalte.htm

(2)Monique DRIEUX, Valérie UZEl et Tania EYERMANN. Toulouse, laboratoire Materia Viva.
Texte sur : http://www.limousin.culture.gouv.fr/pag ... tignac.htm
http://archeo-tintignac.over-blog.com/
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Messagede Sedullos » Mer 01 Fév, 2006 15:53

Salut, Cancrelune,

Merci beaucoup pour toutes ces informations et la qualité de tes notes et observations. Je ne sais pas si cette conférence était ouverte au grand public, si oui, on l'a zappée, et c'est dommage.

Si tu en as le temps et si tu en vois l'opportunité, tu es la bienvenue chez les Gaulois d'Esse (environ soixante kilomètres de Limoges) pour causer archéologie et cervoise, dans notre village et à la taverne !
Jean-Paul Brethenoux. Sedullos Lemouico immi exobnos in catue ! ΣΕΔΟΥΛΛΟΣ (Graecum est, non legitur !)

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Messagede Cancrelune » Mer 01 Fév, 2006 18:59

Oui cette conférence etait ouverte au public.

je n'habite plus Limoges, d'ailleurs j'etais bien déçue de ne pas pouvoir assister à la reunion publique qui présentait le tresor...

Cette année je suis de nouveau en Corrèze, pas loin de Naves.
je ferais des annonces sur le forum si d'autres conférences ont lieu.
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Messagede ejds » Mer 15 Fév, 2006 12:58

Concernant la fosse ou dépôt rituel du trésor de Tintignac, comme peuvent le découvrir ceux qui ne le connaissent pas sur le fil suivant : :shock: :shock:

Un trésor gaulois.

http://forum.arbre-celtique.com/viewtop ... sc&start=0

peut-on employer le terme de favissa, tel qu’on peut l'évoquer concernant l’enfouissement des ex-voto en bois de la Dea Sequana ?! : :?

http://www.forum.arbre-celtique.com/vie ... 7123#37123

e.
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Messagede ejds » Mer 15 Fév, 2006 12:58

Concernant la fosse ou dépôt rituel du trésor de Tintignac, comme peuvent le découvrir ceux qui ne le connaissent pas sur le fil suivant : :shock: :shock:

Un trésor gaulois.

http://forum.arbre-celtique.com/viewtop ... sc&start=0

peut-on employer le terme de favissa, tel qu’on peut l'évoquer concernant l’enfouissement des ex-voto en bois de la Dea Sequana ?! : :?

http://www.forum.arbre-celtique.com/vie ... 7123#37123

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