Un petit conseil de méthode pour analyser un terme : il ne faut jamais perdre de vue le sens. Si possible, comme je l'ai fait une autre fois avec le toponyme Anicium, l'idéal est de partir du sens, sous réserve bien sûr de la connaître ou tout au moins d'avoir dès le départ une hypothèse vraisemblable à son sujet.
En tout état de cause, se référer au sens est un impératif général, et dans le cas présent, cela permet de s'en sortir devant des formations de type -ont-y- qui peuvent tout aussi bien découler de *pont-y- que refléter un ancien participe, une épenthèse sur une forme en -n- issue du système de Caland, un suffixe spécifiquement celtique, et j'en oublie...