J'ai déjà à peu de choses prêt la conviction de ne pas avoir tort, mais au cas où, je pose la question.
Dans les langues sémitiques, la translitération latine kh représente bien le voiceless uvular stop? (révision, je sais qu'au moins en arabe, en syriaque et probablement en hébreu, c'est un vélaire fricatif, mais qu'il devienne un arrêt?)
Dans ce cas, à quel point est-il plausible que ce caractère devienne vélaire? Quand les deux ne sont pas parties d'un même phonème et font la distinction entre certains mots? Très peu, j'imagine.
À part dans des imaginations fébriles qui s'imaginent que beaucoup de k et de y font exotiques, le k a-t-il déjà été commun en gallois?
À quel point est-il plausible qu'un mot évolue et change pour revenir quelques siècles plus tard à une forme proche de l'ancienne?
Vous me voyez déjà venir avec mes gros sabots. Un Khimri en Syrie ancienne peut-il devenir un Combrogi en se déplaçant en Europe pour redevenir un Cymri quelques siècles plus tard? Est-ce que cette étymologie est, comme je l'imagine, le plus vicieux faux-ami que les anglo-israélistes (qui n'en ont d'ailleurs rien à foutre des peuples brythoniques sauf pour l'existence de ce petit mot) emploient toujours, parce qu'il est plus facile de faire tomber quelqu'un dans le panneau avec?