§ 3. Atn-gládastar for leith. ‘Ate! nÃtat béodai do imthechta', ol FÃngen, `Sercc écmaise ro carais'. `Ad-rumadar mo galar form', ol Óengus. `Do-rochar i n-dochraidi ocus nà rolámar a epirt fri nech', ol FÃngen. `Is fÃr deit', ol Óengus. `Do-m-ánaic ingen álaind in chrotha as áilldem i n-Ére co n-écusc derscaigthiu.Timpán inna l-láim, conid senned dam cach n-aidchi.' `Nà báe', ol FÃngen; `do-rogad duit cairdes frie; ocus foÃtter úait cossin m-Boinn, cot máthair, co tuidich dot accaldaim'.
3. Il lui parla à l'écart : « Eh bien ! Tes aventures ne sont pas heureuses », dit Fingen, « tu aimes d’amour quelqu’un qui est absent ». « Tu as jugé ma maladie », dit Oengus. « Tu es tombé dans un état lamentable et tu n’as osé le dire à personne ». « Tu as raison », dit Oengus, « une belle jeune fille est venue vers moi, de la plus grande beauté qui soit en Irlande, et de l’air le plus distingué. Elle avait une cymbale à la main et elle m’en jouait chaque nuit ». « Il n’importe », dit Fingen, « il a été choisi par toi d’avoir son amitié. Envoie des messagers de ta part à Boann, ta mère, pour qu’elle vienne te parler ».