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Je trouve, je pense, que lorsqu'on cite de longs passages issus du travail d'une personne, le minimum de "savoir vivre" est de lui en demander la permission, de le rencontrer, de parler de son projet de livre et de l'en remercier dans sa préface.
Un "mouvement d'humeur" est donc tout à fait compréhensible face à un procédé "cavalier".
Cela ne met nullement en cause un écrivain "trop" pressé et la sincérité d'un autre auteur dont le domaine de recherche est "différent".
La "remise en cause" de gens sincères, vis à vis d'un mouvement d'humeur, est un procédé digne de "Voici" ou "Voila" ou "Lumières du monde" ; SVP, ne subissons pas cette "mécanique" obscène.