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Vin des GauloisModérateurs: Pierre, Guillaume, Patrice Vin des GauloisAh , ouais?
Eh bé c'est com' a Massilia: Au-delà de la porte d'Aix, té c'est le Grand Nord: é c'est peu dire , les pôôôvres...        Pitalugue du Lacydon.....    Z'inquiété c'est LA  soleil qui tape, allez  zou une bonne tisane d'anis  bien fraîche  et ça ira mieux Dis au fait Luernos, tu la tires ou tu la pointes?              Â
Vin des GauloisDouze, oui douzième page!!!!
Alors pour ,arr...euh fêter ça voici un site é.t.o.n.n.a.n.t.: http://www.douze.net/douze/index.php http://www.douze.net/douze/index.php a+
Vin des GauloisBen qu'est ce qu'y nous fait le trégorois  il veut raviver les vieilles guerres tribales Â
Veux-t'y apprendre aux Bigoudens à casser leurs sabots et aux Capparts à casser les bateaux en accrochant la lune aux cornes des pis nouères ?  Ooooh mais, nordiste, ne viens pas te frotter aux Pen Sardin de la ville rouge ou alors il faudra te limer le gosier pour suivre la riboul jusqu'au bout de la nuit    ça veut nous faire la leçon de l'histoire et sont même pas fichus de garder leur nom de département !   Ben oui, côtes du nord / côtes d'Armor   Ah ça fait "classe" et ça attire mieux le touriste hein ? Et du coup on revendique l'Armorique toute entière...  Quite même à "déplacer" Brocéliande pour la bonne cause   et Barenton, et Merlin, et Viviane et tout le bataclan et bientôt les Folies Bergères    Sont jaloux de la ville d'Ys, voilà ce qu'ils sont et ils veulent piquer tous les draps du lit clos   Ksss ! Ksss !  Moi j'ai une très bonne éthymologie pour le Trégor (mais pourquoi j'ai mis une majuscule  ) tout le monde la connait sauf les ceusses de là bas : Très Gore !    Hou les affreux ! C'est rien que des Gallos d'abord et c'est bien prouvé par le manuscrit tintinabulle de l'évêché du Croisic (si, si  ) Ventres creux ! Non mais ! Gavés de fleurs de choux ils la ramènent avec leur Manche qu'est même pas une mer, qu'est juste une ria de rien du tout salée depuis peu et du coup quand ils voient l'océan ils ont la "bloblotte"    C'est pas parce que les chrétiens ont fait de Dahut une sorcière qu'il faut embrayer trégorois ! Dahut était prêtresse de la "vieille science" perdue depuis et a été démonisée par saint korentin qui loin d'être comme Patrick, assimilateur, était un inquisiteur de première cuvée...  Il voulait plaire aux puissants du moment  Bon j'arrête là et je vous laisse pour quatre semaines. Je vais aller "casser mes sabots" sur mes landes d'extrème occident    Et je passe le relais à Luernos si jamais quelqu'un veut encore "taquiner" de l'Osisme  Muskull, Meli-mélo Bigouden, Capart et Pen Sardin           Â
Vin des GauloisSalut Muskull,
Il parait que les Bigoudens sont les seuls gens au monde qui sont capables d'acheter aux Juifs pour revendre aux Léonards, tout en étant capables de faire du bénéfice. Ca, faut l' faire. Qu'est ce que tu en dis ? Et tiens, encore une autre question : il s'appelait comment, le chaval de Gradlon pour arriver à monter en haut de la cathédrale de Quimper. Morvarc'h ? ou Pégase ? Même celui de Caligula, qui pourtant a été proclamé empereur par son maître ( he oui, un cheval empereur ! est resté par terre. Complètement bourré ... d'orgueil . Photo cadeau. JC Even   Â
Vin des GauloisAvé Marcus Avellus ! Hé, hé !   Â
Comme quoi il faut tout expliquer aux gallos  Vu que la cathédrale de Quimper a été construite plus de mille ans après après que Gradlon ait cassé sa pipe il n'est point anachronique de dire que c'est la cathédrale qui est montée sur le cheval et non l'inverse    Quoique par un très hasardeux concours de circonstance il ne soit pas impossible que quelques atomes de la bestiole soient mêlés au mortier de la plus haute flèche  Je réclame donc tout à fait officiellement une analyse génétique de l'édifice  afin de pouvoir prouver aux yeux écarquillés des trégorois que les marc'h du sud sont pas si cons     Même s'il y en a un qui s'est abaissé à porter un roi qui a trahi son sang et la "vieille loi"...  Heu, c'est quoi le problème avec les bigouden, ils te décoiffent ?    Tu sais quoi, gallo  , ça me fait penser à un album d'Astérix, la zizanie    P.S. Pour tous les amis qui ne connaissent pas les "vannes" bretonnes (mais non ! pas Vannes, Venètes et tout ce qui s'ensuit  ) se faire traiter de gallo est une grave insulte. Mais là je joue avec March'ed qui sait très bien que c'est amical et tout et tout !        Hein ? Z'êtes témoins, il taquine le bigouden...    Â
Vin des GauloisPour les curieux Â
Ci-joint un site où notre Jean Claude foruméen débat avec des bretons de la réalité de la ville d'Ys  http://www.rezoweb.com/forum/histoire/i ... /514.shtml http://www.rezoweb.com/forum/histoire/i ... /514.shtml Ce n'est pas pour critiquer mais j'aimerais bien que nos férus linguistes aillent voir de temps en temps sur le terrain  Histoire de remettre "les pendules à l'heure". Je ne vais pas entrer dans les détails mais franchement, tout ce qui concerne Plogoff est du délire de haut vol  Le "port" de Plogoff est Bestré et ça fait déjà une trotte avec des charrettes à bras (sans parler de la dénivellation !, le grand port le plus proche est Audierne, bien à l'abri des tempêtes de sûroit dans l'embouchure du Goyen que les barques de pêche peuvent remonter (à marée haute) jusqu'à Pont Croix... Dans la baie de Douarnenez il y a effectivement un endroit où le fond marin est plus haut mais beaucoup de plongeurs (dont des amis) n'ont rien trouvé en ce qui concerne murs, murailles où quoi que ce soit de vestiges humains. Mais c'était un très bon lieu de pêche (quand il y avait encore du poisson non "ratissé" par les chaluts)... Le fond de la baie a par contre un dénivelé très bas et l'on trouve des troncs fossiles (ou des traces de structures huîtrières) lors des marées d'équinoxe. L'ancienne via romana qui y aboutit (vestiges de villas gallo-romaines, briques, etc...) et venant de Carhais, venait à mon sens chercher le sel des paluds de St Anne et d'ailleurs, ainsi que le poisson salé des Douarnenistes du temps, une usine de salage découverte aux Plomarc'h récemment... Il faut arrêter de rêver dans un romantisme à la Château Brillant et de voir des choses là où elles ne sont pas. Le réel est bien plus passionnant que les rêves, et dilater ses narines au vent du grand large plus constructif que d'éternuer dans la poussière des vieux livres, où les vieux écrivains condensaient leur mal d'être... Et copiaient à mort sur les antécédants (c'était avant les droits d'auteur)    Je ne vais pas la ramener avec la psycho. mais tout ce qui se rattache à un virtuel "âge d'or" transmet traditions, légendes, contes... Nous seront peut-être nous même les très virtuels témoins d'un "âge d'or" si l'humanité n'arrive pas à règler ses problèmes de pollution de la planète et de sa "soit disant" guerre entre les riches et les pauvres, entre ceux qui ont l'eau et les autres, entre les faibles et les nantis... Là nous sommes dans le présent et gardiens de la vie de nos enfants et des leurs... La culture est très importante pour ne pas reconduire les erreurs funestes de l'histoire. Et la culture est d'aller chercher les racines de l'idée et de l'idéologie mais nous voyons autour de nous des jeunes personnes (et pas seulement des jeunes, bien sûr mais pour eux c'est plus grave) pour qui l'histoire est un brouillard total, pas de mémoire, c'est le dernier qui parle a raison si il parle bien (populisme)... Oh ! Et puis merde, vous faites ce que vous voulez après tout, je parlais seulement de la liberté... Â
Vin des GauloisPour la question d'origine :
Diogenes (Verecundius Diogenes) : marchand de vin biturige (originaire de Bourges), dont les activités semblent être attestées à Eburacum / York. cf. I.A Richmond; Roman Britain, p 172. J'ai précisé Bourges, car Bordeaux aussi est Biturige (Vivisci) ! (Je n'ai pas dit whisky ! *************** Pour Muskull : Le thème de la Ville d'Ys devrait l'objet d'une question spécifique; sinon, nous allons nous noyer définitivement. Et l'eau de mer, ça n'a pas le même goût que le bon vin. PS : Kabaion est l'ensemble du cap. *coff- n'en n'est qu'un reliquat en toponymie, et je n'ai jamais dit que le port de Kabaion était celui de Plogoff. Tu tires trop vite ta conclusion. **************** JC Even
Vin des Gaulois Toujours aussi fouineur   en grattant au fond  d'un sarcophage égyptien j'ai "dégusté "  ce petit texte:
Réunion bachique (tombeau de Paheri). On entend une servante offrant du vin à une dame de haut rang : A ta santé ! Bois jusqu'à l'ivresse, Fête une belle journée ! Ecoute ce que dit ta voisine, Et ne te fatigue pas du plaisir ! La Dame s'écrie alors : Donne-moi dix-huit coupes pleines de vin ! Vois, j'aime (à boire) jusqu'à l'ivresse, Mon gosier est vraiment (aussi sec que) la paille ! Alors , savaient pas vivre les pharaons!!!      Â
Vin des Gaulois Tenez , vu que pour certains  c'est les vacances
après l'Egypte un petit tour en Grèce archaïque! Saviez vous comment ce passait les rituels de la boisson durant les banquets?  Eh bien de cette manère-ci: . On buvait aussi du lait, surtout du lait de chèvre, et une sorte d'hydromel, mélange de miel et d'eau. Mais la vigne fournissait la boisson royale, le présent de Dionysos. A la campagne, après les vendanges, on goûtait le vin doux. La fabrication du vin était assez différente des procédés actuels: la fermentation en cuve n'était pas pratiquée de façon prolongée ni systématique, si bien que la conservation était difficile. Pour l'assurer, on mélangeait au vin de l'eau salée ou d'autres ingrédients: on ajoutait souvent des aromates, tels que du thym, de la canelle, parfois aussi du miel; on faisait également du vin cuit. Le vin destiné à la consommation sur place était mis dans des outres en peau de chèvre ou en peau de porc. Celui qui devait être exporté était versé dans de grandes jarres de terre cuite (pithoï), puis dans des amphores également en argile, dont les parois intérieures avaient été enduites de poix. Les vins de Thassos, de Chios, de Rhodes de Lesbos et d'autres lieux étaient particulièrement renommés. Certains convives qui n'ont été invités que pour le symposion proprement dit peuvent arriver après la fin du souper. Le symposion commence par des libations en l'honneur des dieux et surtout de Dionysos: ce sont de petites quantités de vin que l'on verse sur le sol en invoquant le nom du dieu.(d'ailleurs dans d'autres rites européens du Nord ce rituels existe toujours: cela s'appelle un "sacrifice à la terre....) Puis on chante un hymne à Dionysos. On désigne ensuite, souvent par le sort, au moyen des dés, le "roi du banquet" (symposiarque) dont la fonction principale sera de fixer le mélange de vin et d'eau que l'on boira et de décider combien de coupes chaque convive devra vider(pour moi, le + possible!!!! . Le symposiarque peut aussi décider du thème de la conversation. On parle et on boit à tour de rôle à la santé de tous les assistants.  Allez à qui le tour Â
Vin des GauloisTiens , eh bien moi qui suit tout seul au fond  la taverne Â
(et ils sont où?, et ils sont où?.... ) je vais l'acceuillir le cornu comme il se doit avec ce cher Leconte de Lisle: Parce que apparament , ils ont tous l'air " d'être en viage sû la mée..." La vision de Snorr --------------------------------------------------------------------------------   Hors du monde charnel Vous m'avez envoyé vers les neuf maisons noires; Je me suis enfoncé vers les antres de Hel. Dans la nuit sans aurore où grincent les mâchoires, Quand j'y songe, la peur aux entrailles me mord! J'ai vu l'éternité des maux expiatoires. Me voici revenu, tout blême, comme un mort. Prenez-moi, par grâce, en votre garde. Et si je fais le mal, donnez-m'en le remords. Le prince des Brasiers est là qui me regarde, Vêtu de flamme bleue et rouge. Il est assis Dans le palais infect qui suinte et se lézarde. Il siège en la grand salle aux murs visqueux, noircis, Où filtre goutte à goutte une bave qui fume, Et d'où tombent des noeuds de reptiles moisis. Au-dessus du malin sur qui pleut cette écume, Tournoie avec un haut vacarme, un Dragon roux Qui bat de l'envergure au travers de la brume. En bas, gît le marais des Lâches, des Jaloux, Des Hypocrites vils, des Fourbes, des Parjures. Ils grouillent dans la boue et creusent des remous, Ils geignent, bossués de pustules impures. Serait-ce là , leur expiation, D'être un vomissement en ce lieu de souillures? Sur des quartiers de roc toujours en fusion, Muets, sont accoudés les Sept convives mornes, Les sept Diable royaux du vieux Septentrion. Ainsi que les héros buvaient à pleines cornes L'hydromel prodigué pour le festin guerrier, Quand les Skaldes chantaient sur la Harpe des Nornes; Les sept démons qu'enfin vous vîntes châtier, En des cruches de plomb qui corrodent leur bouches, Puisent des pleurs bouillants au fond d'un noir cuvier. Auprès, les bras roidis, les yeux caves et louches, Broyant d'épais cailloux sous des meules d'airain, Tournent en haletant les trois Vierges farouches. Leur coeur pend au dehors et saigne de chagrin, Tant leurs labeurs sont durs et leurs peines ingrates; Car nul ne peut manger la farine du grain. Autour d'elles pourtant, courent à quatre pattes Les Avares, aux reins de maigreur écorchés, Tels que des loups tirant des langues écarlates. Puis, sur des lits de pourpre ardente sont couchés, Non plus ivres enfin de leurs voluptés vaines, Les Languissants, au joug de la chair attachés. Leurs fronts sont couronnés de flambantes verveines; Mais, tandis que leur couche échauffe et cuit leurs flancs, L'amer et froid dégoût coagule leurs veines. Voici ceux qui tuaient, jadis, les Violents, Les Féroces, blottis au creux de quelque gorge, Qui, la nuit, guettaient l'homme et se ruaient hurlants. Maintenant, l'un s'endort;l'autre en sursaut l'égorge. Le misérable râle et le sang par jets prompts, Sort, comme du tonneau le jus mousseux de l'orge. Et ceux qui, sur l'autel où nous vous adorons, Ont déchirés la nappe et bus dans vos calices Et sur vos serviteurs fait pleuvoir les affronts, Qui nous ont enterrés vivants, dans nos cilices, Qui de l'étole ont serré notre cou, Pour ceux-là Le Malin épuise les supplices. Enfin, je vois le Peuple antique, aveugle et fou, La race qui vécut avant , Qui marchait, hélas! sans savoir où. Tels qu'un long tourbillon de vivante poussière, Le même vent d'erreur les remuent au hasard, Et le soleil du Diable éblouit leur paupière. Or, vous nous avez fait, certes, la bonne part, A nous qui gémissons sur cette terre inique; Mais pour les anciens morts vous êtes venus tard! Donc, chacun porte au front une lettre Runique Qui change sa cervelle en un charbon fumant, Car il n'a point connu la loi du fils unique! Ainsi, gêne sur gêne et tourment sur tourment, Carcans de braise, habits de feu, fourches de flammes, Tout cela, tout cela dure éternellement. Dans les antres de Hel, dans les cercles infâmes, Voilà ce que j'ai vu par votre volonté, O sanglant Rédempteur de nos mauvaises âmes! Souvenez-vous de Snorr dans votre éternité! Leconte De Lisle Ca pour être du cornu c'est du Cornu Â
Vin des GauloisPas moyen d'avoir une goutte d'hydromel dans mon bol de lait
Eh ! gardez pas tout pour vous !!!! pffff si on me donne pas à boire je mange l'oiseau ! Je plaisante petit oiseau, je t aime trop pour ca Mais que ca vous empeche pas de me donner de quoi assouvir mon felin gosier ...oye oye ! Setanta
Vin des GauloisOhhhh j ai compris faut faire le troubadour pour obtenir les faveurs de la maison ... hop hop ... pardonnez moi mais ce soir je me permettrais de faire dans le sensuel
je me rapelle ses cuisses , elles etaient etaux de chaire qui empoignait mon coeur, je le sentais palpiter brusquement comme une poche de sang qui va exploser, se deverser en lave fumante, laissant des traces étoilés de brulures éclaboussures. deux corps en sueur, abandonné au plus rien, comme un peu de sel sur une plaie ouverte, quand la jouissance est douleur contenue. il y avait des morceaux de ses yeux qui coulaient dans la toile epaisse du ciel, et moi je croyais enfin en dieu, ou au moins en l immortalité. A jamais epuisé, elle m a laisser sans vie sur le sol, a sourit, et a pris son envol. Setanta ( pour ceux ki en doute encore ...si si je suis une fille )
Vin des GauloisHydromel en lait, hydromel en lais,
Ne pas boire l'amer et rêver de la mer... Des lais pour les grandes amoureuses Des douceurs de divans dans les étés Des anis jaunes dans les verres glacés Des lais pour les grandes amoureuses Nos amours sont des barques Il y a les filles qu'on embarque Et les peines qu'on débarque Nos amours sont des barques Tra la lé-la lé-lano La harpe et le banjo Ballade arthurienne Reines et bohémiennes Se dénudent s'ensablent Fleurs de goémons Entreintes limons Et les saules eet les aulnes Et les princes et les fées Et les jambes et les lèvres Et les semences et les étreintes Isilt, Yseult Et les dents et les bouches Baisers bleus Mains-colombes Bras-tiges Filles-fleurs Tilleuls I love you Trugarez Je vous aime C'est la fête sur la terre Rondeau Rondel. Xavier Grall
Vin des GauloisAh, qui dira la solitude du forum au mois d'août ! Â
Les pages qui ne tournent pas, Les messages en jachère... Les témoignages oubliés, non su, Les réponses dans le vide de l'absence.  Reste plus que les bretons pour faire tourner le manège, C'est un monde tout de même ! Â
Vin des GauloisA propos du Chouchenn, j'ai entendu dans le courant du mois de Juillet 2002, sur Bleu-Breizh-Izel (Kemper sur Odet), que le mot en question est relativement récent, issu lui-même du français 'souche', initié par un apiculteur de la 2è moitié du 19è siècle.
En fait, chez nous, en Trégor, (qui sommes les VRAIS Bretons, comme chacun le sait et par-dessus tout Muskull), l'hydromel se dit CHUFERE, prononcer en français (pour nous langue étrangère) : chuféré. Des linguistes pensent que ce mot serait un correspondant ou un dérivé du mot gaulois qui a donné : Cervaise en français et Cervesa ( = bière), en espagnol. JC Even
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