Mot gaulois figurant sur l'inscription du plomb du Larzac. Il est généralement considéré comme étant le verbe être (ou frapper) conjugué à la troisième personne du singulier du subjonctif ---> "qu'il soit, (ou qu'il frappe)". Les formes plurielles : biontutu, biiontutu, et biontutus, sont également attestées sur cette même inscription.