(PinTis>bintis) - Ce mot qui se retrouve sur toutes les lignes de la face B de l'inscription Botorrita I, en accompagnement d'une liste de personnes, est interprété comme désignant un magistrat par J.-L. Gonzales. Toutefois J.-P. Savignac propose de rapprocher ce mot de la racine indo-européenne *bhendh- (lier), et propose comme traduction : garant, témoin.
Attention - Du fait que l'alphabet celtibère est semi-syllabique, les majuscules signifient que ces lettres forment avec la voyelle qui suit un et même caractère. De plus ces syllabogrammes ne font pas de distinction entre les sourdes et les sonores (B/P, K/G, T/D), ainsi par exemple = To ou Do.