Mot de la langue gauloise que nous retrouvons sur la sixième ligne de l'inscription gauloise du plat de lezoux, et peut-être sur un fragment du verso (devv[or]bvvit[id] ?). Initialement interprété comme signifiant : "qui survient, qui revient" par L. Fleuriot. Aujourd'hui, est plutôt retenu comme un composé en *devor-buetid, avec comme signification : "être au dessus ---> qui surpasse, qui vainque" (X. Delamarre (2003), P.-Y. Lambert (2003)). J.-P. Savignac, quand à lui retient les deux interprétations : "qui surpasse, qui survient" (2004).