C'est Pline qui nous donne le nom gaulois de la centaurée. X. Delamarre retient l'hypothèse de Walde "*ex-ago" (qui fait sortir), la centaurée ayant effectivment des propriétés purgatives.
Pline, Histoire Naturelle, XXV, 6: "En Italie on nomme cette centaurée fiel de terre, à cause de son extrême amertume, en Gaule exacum parce que prise en boisson elle évacue toutes les substances nocives".