Mot attesté au IXème siècle désignant la quantité contenue dans des mains jointes, mais dont l'origine est très probablement gauloise. Comparé au vieil-irlandais glac ("main"), provenant certainement d'un indo-européen *gel- ("arrondir"). A la différence de l'ambosta qui désigne la quantité contenue dans les deux paumes de la main jointes, la galoxina est le volume contenu - hermétiquement - dans les deux mains jointes.