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Eusébe de Césarée : Panégyrique de Constantin, VII, Traduction de : Edouard Galletier, 1952, Paris, Les Belles Lettres
Texte:
L'homme [Constance Chlore], qui avait accompli tant d'exploits prodigieux ne songeait point à conquérir, je ne dis pas, les forêts et les marécages des Calédoniens ou encore des Pictes, mais même l'Hibernie toute proche ni Thulé aux confins du monde, ni les Îles Fortunées elles-mêmes, si elles existent [...].