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Des Dolmens en Touraine

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Modérateurs: Pierre, Guillaume, Patrice

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7 messages • Page 1 sur 1

Des Dolmens en Touraine

Messagede Tei » Sam 10 Avr, 2004 11:54

Journal dérivé de la NR : Loisir Week-end n°53 ( vedredi 9 avril 2004) page 11 :


Méga Mégalithe

N'est pas Obélix qui veut... N'empêche, la Touraine peut se vanter d'avoir aussi ses menhirs ! Ainsi que quelques beaux mégalithes et dolmens. Parmi les plus imposants, celui de St-Antoine-du-Rocher mais on trouve ça et là quelques installations de pierres assez impréssionantes. La construction de mégalithes se situe entre -6000 et -3000. Elle correspond à la sédentarisation des premier agriculteurs. En touraine, en Poitou, ils onr essaimé. Constuisant à Paulmy, Charnizay, L'isle-Bouchard, ligré, Bommiers... Sans compter les monuments qui ont disparu. Mais les noms de lieux gardent parfois la trace comme ces "Pierres Levées" à Perusson, qui évoquent un dolmens détriut en 1830.
Les blocs rocheux se dressent fièrement. Ils se repèrent parfois de loin, au milieu de champs. A Draché, à quelques kilomètres au Sud de St-Maure-de-Touraine, le promeneur peut tomber sur l'un des plus au méhnir de la région. Au centre, un vide qui à sucité nombre de légendes. Ce trou créé de façon naturelle par l'érosion, a toujours titillé l'imagination populaire. Le mehnir tenait une place importante dans le folklore local. On y échangeait des serments en y passnt les mains. Voir en tendant quelques fleurs en bouquet. Les enfants qui y passaient la tête étient censé être protégé des écrouelles, des abcès d'origine tuberculeuse. Au pied du menhir miraculeux, on y ramassait l'herbe. Réputée pour protéger des sorts et des esprit malfaisant. Mais d'où venait ce trou mystérieux ? Le menhir de la pierre percée de Draché est empreint de mystère... On songe qu'il servit de quille à Gargantua. Il fallait donc un objet pour faire un "strike" : direction Charnizay, on y trouve le "palet de Gargantua".




Voici maintenant mes questions :

Il me semble que vous avez déjà abordé le sujet des menhirs, pouvez-vous m'en donner le lien (je ne le trouve pas) ?

Quelle est la différence entre les menhirs, les mégalithes et les dolmens ?


Merci, Tei.
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Messagede Marc'heg an Avel » Sam 10 Avr, 2004 12:09

Salut Tei,

"Quelle est la différence entre les menhirs, les mégalithes et les dolmens ? "

méga-lithos signifie pierre de grandes dimensions.

... ce que sont les dolmens et les menhirs.

Ces deux mots sont d'origine bretonne. Mais si le premier est relativement ancien, le second ne date que de la fin du XVIIIè siècle, ayant été "fabriqué" par La TOUR-d'AUVERGNE, de Carhaix, alors que le vrai mot breton est peulven = *peul- = pilier + *maen = pierre.

En français, ils sont souvent appelés : Pierres fittes, ( =pieres fichées) d'où certains nom de lieux et de villes.

Pour les dolmens (en français), taolioù maen = tables de pierre (en breton) les chercheurs sont à peu près d'accord qu'il s'agit souvent de restes de chambres funéraires sous d'anciens tumuli dont la couverture de terre aurait disparu.

Pour les menhirs / peulvenoù ou peulioù maen, on n'a pas encore la preuve qu'il s'agit de marques tombales. Certains se trouvent le long de routes anciennes, et pourraient très bien aussi marquer des repères géographiques, tels des amers quand ils sont près du littoral (ex : Pochou Maen, en haut de la côte de St Michel en Grèves, en allant vers Lannion).

Pour un modèle de menhir, vois donc celui-ci, très impressionnant :

http://marikavel.net/pleumeur-bodou-menhir-st-duzec.htm

Kenavo,

JC Even :)
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Hugues de Saint-Victor.
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Messagede Fergus » Sam 10 Avr, 2004 12:12

Mégalithes vient du grec signifiant "grande pierre". Ca comprend tous les machins comme ça, dolmens, menhirs, cromlech et autres.

Menhir, c'est du breton, ça veut dire longue pierre. Ca désigne les pierres debout (celles d'Obélix, si tu préfères).

Dolmen, en breton, ça veut dire table-pierre. Ce sont des monuments comportant plusieurs grosses pierres (3, 4 ou 5 en général), avec une énorme pierre dessus.

Les cromlech sont des cercles de pierre.

Les allées couvertes sont comme des dolmens, mais précédés d'une allée, comme un couloir qui mène au dolmen lui-même.

Inutile, j'espère, de préciser que tout ça n'est pas celtique ? Les noms bretons sont dus à l'illusion celtomane du 18° s. A l'époque, on croyait que les mégalithes étaient des "monuments druidiques", alors on a pris des noms bretons pour les désigner. Par là-dessus est venu le calamiteux (mais rigolo) Asterix et sa bande, qui fait croire à tout le monde, depuis 40 ans, que les Gaulois construisaient des menhirs.
Fergus
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Messagede Tei » Sam 10 Avr, 2004 12:16

Merci, il est effectivement inutile (pour moi) de préciser qu'il ne sont pas celtiques. :wink:

Tei.
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Messagede ejds » Mar 21 Mar, 2006 22:22

Découvertes en Touraine : :shock::shock:

La Nouvelle République a écrit:A85 et A28, travaux et nouvelles ouvertures

L'A 85 a livré ses trésors archéologiques
(17/03/2006)


http://www.lanouvellerepublique.fr/dossier.php?dos=A85

Les fouilles archéologiques sur le tracé de l'A 85 entre Saint-Romain-sur-Cher et Tours ont été officiellement clôturées le 15 mars dernier. Les travaux ont duré 20 mois, 750 hectares ont été « diagnostiqués » et 25 sites fouillés en profondeur.

« Ces fouilles ont offert un aperçu remarquable sur 90.000 ans d'histoire, du paléolithique à moyen à l'époque médiévale », ont indiqué les archéologues de l'Institut national de recherches archéologiques préventives (INRAP) qui ont réalisé les travaux.

Trois sites se sont révélés particulièrement intéressants, d'un point de vue régional mais aussi national. A Angé, des campements du paléolithique moyen ont été identifiés, remontant à 70.000 ans.

Environ 30.000 silex ont été retrouvés ainsi que des outils en os, qui attestent pour la première fois d'une présence importante de l'homme de Néandertal dans la région, même si aucun ossement n'a été préservé.

A Mareuil-sur-Cher, à l'intersection de la vallée du Cher et du vallon de la Civière, les chercheurs ont découvert un gisement préhistorique exceptionnel remontant au paléolithique supérieur.

Environ 100.000 silex taillés ont été recueillis, couvrant une période de 30.000 ans. Ce site présente la particularité de comporter une quinzaine de niveaux archéologiques. Les vestiges les plus anciens sont des restes de campements du premier homme moderne qui succède à l'homme de Néandertal et la période d'occupation se poursuit jusqu'au néolithique, vers 8.000 ans avant notre ère.

Le dernier site est d'occupation plus récente et se situe à Sublaines (Indre-et-Loire), à 20 km de Tours, où 2.500 vestiges archéologiques ont été mis au jour sur une superficie d'environ 20 ha.

Ils se répartissent entre le néolithique moyen (4.000 ans avant J.-C.), l'âge du bronze (2.500 à 1.000 avant J.-C.), avec des découvertes sans équivalent dans la région, et la période gallo-romaine. Des restes de fosses, silos, sépultures ou enclos funéraires, ont été retrouvés ainsi que des objets et poteries.

Les archéologues vont désormais laisser la place aux engins de terrassement en vue d'une ouverture du tronçon en 2008. Mais ils n'ont pas voulu clore leur présentation sans rappeler la précarité de la situation de bon nombre de leurs collègues qui sont employés en CDD.

Une quarantaine d'entre eux étaient d'ailleurs venus manifester devant la préfecture où se déroulait la restitution des travaux de fouilles. La directrice de l'INRAP, Nicole Pot, qui assistait à la réunion, a quitté la salle sans même les écouter.

Christine BERKOVICIUS

AFP a écrit:Trois sites préhistoriques majeurs découverts en Touraine
21-03 16:15:21

http://actu.voila.fr/Depeche/ext--franc ... 954i0.html

Trois sites préhistoriques majeurs ont été mis au jour au cours des derniers mois en Touraine, lors de fouilles préventives sur le tracé de l'autoroute A85 entre Saint-Romain-sur-Cher (Loir-et-Cher) et Tours (Indre-et-Loire), ont annoncé l'Inrap et l'aménageur Cofiroute.
Les fouilles effectuées par les archéologues de l'Institut national de recherches archéologiques préventives et qui se sont achevées à la mi-mars, ont permis de découvrir trois sites "majeurs" à Sublaines (Indre-et-Loire), Mareuil-sur-Cher (Loir-et-Cher) et Angé (Loir-et-Cher).

A Sublaines, un "ensemble archéologique exceptionnel" de 2.500 vestiges constitués de fosses, de silos, de sépultures, d'enclos à vocation funéraire, ont été découverts, sur près de 20 ha. Ils se répartissent entre les périodes du néolithique moyen (4.000 ans avant J.-C.), l'âge du bronze (entre 2.500 et 1.000 avant J.-C.), la Tène ancienne et moyenne (400 ans avant J.-C.) et la période gallo-romaine. Les vestiges néolithiques et de l'âge du bronze "n'ont aucun équivalent dans la région", indique le communiqué.

A Mareuil-sur-Cher, à l'intersection de la vallée du Cher et du vallon de la Civière, un vaste gisement préhistorique a été découvert, regroupant les vestiges de plusieurs campements du paléolithique supérieur qui ont été "exceptionnellement préservés de l'érosion au fil des millénaires".

Les éléments recueillis s'étalent sur près de 30.000 ans. Environ 100.000 silex taillés ont été trouvés et une vingtaine d'implantations humaines recensées. Plusieurs périodes étaient jusqu'alors inconnues dans la région Centre.

A Angé, des campements du paléolithique moyen (environ 70.000 ans avant J.-C.) ont été identifiés et plus de 30.000 silex taillés ont été retrouvés, témoignant de l'importante fréquentation de cet endroit par l'Homme de Néandertal. Ce site a été exploré sur plus de 6.800 m2 d'un seul tenant, ce qui en fait "la plus vaste fouille réalisée en France pour un site de cette période", indique le communiqué qui ajoute qu'elle "constitue un jalon intermédiaire entre le sud-ouest et le nord de la France qui sont les deux régions les plus riches en gisement de cette période".

© AFP.

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Messagede ejds » Mer 05 Avr, 2006 9:28

INRAP a écrit:Le Grand Ormeau, site 47-51 à Sublaines (Indre-et-Loire)

Résultats
Enceinte néolithique, nécropole néolithique, habitat du Bronze final IIb-IIIa, zone d’ensilage de La Tène ancienne, nécropole de La Tène ancienne/moyenne, structures agraires du Ier s. ap. J.-C. et nécropole du IIe s. ap. J.-C. (dont une sépulture du IIIe s. ap. J.-C.).

http://www.inrap.fr/site/fr/page.php?id ... antier=618

La fouille a permis de mettre au jour sur une superficie de près de 20 ha environ 2 500 faits archéologiques. Ces vestiges, répartis entre les périodes du Néolithique moyen, de l’âge du Bronze, de La Tène ancienne et moyenne et de la période gallo-romaine sont constitués de fosses, de trous de poteau, de silos, de sépultures et de fossés. On peut faire état de 39 silos, 80 bâtiments, 4 incinérations, 20 inhumations, 12 enclos à vocation funéraire. Il faut souligner le caractère exceptionnel de la nécropole et de l’enceinte néolithiques. L’ampleur de l’occupation de la fin de l’âge du Bronze n’a également aucun équivalent dans la région. La fouille de Sublaines se prêtait à la mise en place d’études paléoenvironnementales portant sur l’évolution de la couverture végétale et de l’usage des sols (études malacologiques, anthracologiques, pédologiques, palynologiques) en relation avec la présence humaine (interactions avec le milieu, impacts directs ou indirects) et les activités induites (usages domestiques, funéraires, sélections d’espèces au sein du milieu végétal : carpologie, anthracologie, phytolithes, etc.).

Une description amène des Tourangeaux : :shock::46:

La France pittoresque a écrit:Histoire du département de l'Indre-et-Loire (Partie 1/2)
(Région Centre)

Le département d'Indre-et-Loire comprend les quatre cinquièmes de l'ancienne Touraine, dont la capitale est devenue son chef-lieu. Ce beau pays n'a pas eu, comme quelques autres plus énergiques et plus rudes, une histoire intérieure fort agitée ; si sa tranquillité a été troublée, c'est en général par le contrecoup des secousses qui remuaient les pays voisins ou même toute la France.

http://www.france-pittoresque.com/histo ... ts/37b.htm

Le caractère de ses habitants est plus propre au repos qu'à la guerre ; une certaine indolence se remarque aujourd'hui chez eux, et les témoignages de tous les temps s'accordent sur ce point : Turoni imbelles, dit Tacite ; mais les Tourangeaux réclament et demandent qu'on lise rebelles. Una nuper cohors rebellem Turonium (profligavit), dit Silius Italicus. Rebellem ! s'écrient les Tourangeaux avec fierté. Oui, mais una cohors, une seule cohorte les a vaincus. Bella timentes Turones, dit Sidoine Apollinaire. « Mais ceci, répond Stanislas Bellanger (de Tours), n'est point une preuve irréfutable. » Enfin, le Tasse, énumérant les peuples accourus à la croisade, écrit sur les guerriers de Tours et de Blois ces vers charmants :

Non è gente robusta o faticosa...
La terra molle, e lieta, e dilettosa,
Simili a se gli abitator produce.


« Ce n'est pas un peuple robuste et fait pour supporter les fatigues ;... cette terre, qui respire la mollesse, la joie et les délices, donne le jour à des habitants qui lui ressemblent. »


Que les Tourangeaux sachent se borner ; qu'ils se contentent de la réputation d'esprits fins, caustiques, prenant la vie par le bon côté, et parlant notre langue avec plus de pureté qu'aucune autre province de France, ce qu'on attribue, à tort ou à raison, au long séjour de la cour dans leur pays.

Dans le temps qu'on se faisait grand honneur d'une antique origine, les Tourangeaux ont eu, comme bien d'autres peuples du reste, la manie de se rattacher aux temps héroïques de la Grèce. Turnus aurait été le père des Turoni, et, au XVIe siècle, on montrait encore près d'une des portes de Tours une grosse pierre carrée qu'on disait être son tombeau. D'autres voulaient qu'une troupe de Gaulois fût allée au secours de Troie et, la trouvant déjà conquise, en eût ramené des Troyens qui se seraient fixés aux bords de la Loire.

Il en est qui font venir Turoni du grec fils du ciel. Une étymologie moins flatteuse est celle qui fait dériver leur nom du celtique tur, turon, qui tourne, qui change, épithète qui désignerait l'instabilité de leur caractère. Les Turoni, à parler sérieusement, étaient des Celtes et tenaient leur place dans la confédération des Andes, des Carnutes, des Sénones, des Lingons, des Vénètes. Ils formaient une des civitates si nombreuses que César trouva en Gaule. Ils étaient gouvernés de même, avaient la même religion, les mêmes lois, les mêmes armes.

Plusieurs dolmens encore debout et quelques débris d'armes trouvés dans le département, une pointe de lance et des haches en bronze, un fragment d'une hache en silex, un casse-tête, un caillou tranchant pour dépouiller les animaux, des pointes de flèche en silex, des fragments d'armure en bronze, en témoignent suffisamment. Sur des médailles ornées de figures du sanglier symbolique des Gaulois ou d'autres animaux bizarres qu'on suppose être l'urus ou auroch, on lit, outre la légende Turonos, les noms de Cantocix et de Triccos, qu'on croit avoir été deux chefs du pays à une époque inconnue.

Les Turoni ne se firent que faiblement remarquer dans les grandes expéditions des Gaulois hors de leur pays et dans la résistance nationale aux armes de César. Soumis avec toute la Gaule, ils fournirent de la cavalerie au conquérant et furent compris dans la Celtique qui, sous Auguste, reçut le nom de Gaule Lyonnaise.

Un peu plus tard, leur pays fut démembré, et sa partie méridionale fut attribuée à l'Aquitaine. Quand il y eut quatre Lyonnaises, ils firent partie de la troisième, qui comprenait la Touraine, la Bretagne, l'Anjou et le Maine. Dans la décadence de l'empire, lorsque déjà les Wisigoths occupaient le sud de la Loire, les Bretons, les Andécaves (Anjou) et les Turones formèrent la ligue armoricaine dans le but de ressaisir leur antique indépendance. Mais Aétius les vainquit et établit chez eux les Alains mercenaires qui, de la rive droite de la Loire, où ils se fixèrent, ne cessèrent d'aller ravager la rive gauche et la Touraine méridionale. Ils ne s'arrêtèrent que devant les armes des Wisigoths, qui ne voulaient pas les laisser empiéter sur leur royaume d'Aquitaine.

[…]

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Messagede Marc'heg an Avel » Mer 05 Avr, 2006 13:46

" Un peu plus tard, leur pays fut démembré, et sa partie méridionale fut attribuée à l'Aquitaine... (1)

... Quand il y eut quatre Lyonnaises, ils firent partie de la troisième, qui comprenait la Touraine, la Bretagne, l'Anjou et le Maine (2)".

--------------------

(1) : Concile des Gaules : - 19 & -15

(2) : Magnus Clemens Maximus Augustus (Maxen Wledig) : + 385.

----------------------

Soit 400 ans d'écart.

Qui sait ce qu'il s'est passé, et peut le dire ex-abrupto, en 1606 ? (2006 - 400)

JCE :wink:
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