![Very Happy :D](./images/smilies/icon_biggrin.gif)
C'est tout à fait possible en effet !
Mais accordez moi qu'il a du le choisir en fonction de sa sensibilité de conteur.
![Wink :wink:](./images/smilies/icon_wink.gif)
Gwen est le mot breton le plus connu des non-bretonnants qui s'intéressent aux contes bretons...
Prolonger dans l'antécédance ou la continuité un conte pour le développer, voire lui donner un autre sens est un procédé de conteur et cela a très certainement existé de tous temps.
Utiliser, comme le signale Sed, des légendes plus nordiques à cet effet, pourquoi pas...
![Smile :)](./images/smilies/icon_smile.gif)
Pour moi c'est signe que le mythe reste vivant et c'est ce mythe qui m'intéresse. Pourquoi et comment est-il omniprésent dans les mythes et le légendaire celtique ?
Les copistes médiévaux avaient très certainement fait le lien avec le mythe biblique de la "chute"...
Pourtant, dans ce qui nous reste des anciens, il y a une inversion. La "femme de l'autre monde", l'Eve celtique est la messagère du retour.
Dans la légende de ville d'Is, elle est rejetée dans l'océan, la dissolution dans l'inconscient (selon Jung).
Pour que le père survive, il doit sacrifier sa fille, son âme, son anima (toujours selon Jung).
Il y a là un intéressant phénomène historico-mythique dans la lecture de cette légende.