La disparition du religieux laisserait un grand vide, un espace libre pour la barbarie.
Cela est connu dans l'histoire.
Je ne défend pas par là la pérénité du religieux, mon problème est que je ne vois pas comment le remplacer pour la grande majorité des peuples.
Tu prends la problématique à l'envers, fait plutôt un effort de pensée vers "l'effort spirituel" et non la religion qui semblerait te satisfaire. Les religions sont des "conglomérats sociaux" d'efforts et de paresses de cet élan spirituel, de ce besoin, de cette "faim" que tu ressents et que tu penses irremplacable par "quelque chose d'autre".
Foin des "grandes idées" des autres mais effort chaque jour de comprendre et d'accepter ses proches pour "lisser" ce qui ne nous semble pas "juste".
"La prépondérance du petit" dirait le taoïste, et l'application au "petit", toujours, malgré ces grandes "idées" qui nous traversent.
Le chemin d'entre deux, unique, simple...