Helvètes - La Tène

[deden]

Merci pour cette information qui a été relayé uniquement par notre TV locale. Dommage.
Je ne manquerais aucune manifestation, notamment la nuit du Celte ou un forgeron celte va nous montrer ses secrets !

merci encore

Qui pourrais relayer cette information si importante via le monde "celte-web" ?

[ejds]

Bonjour deden et rebienvenue parmi nous ! Un peu plus d'infos :

ARCHÉOLOGIE
7 mars 2007

150 ans après sa découverte, La Tène reste une énigme.

«Réveillons le Celte qui sommeille en nous!» Tel est le cri de guerre lancé par les musées d'archéologie de Neuchâtel, Bienne et Zurich en cette année commémorant le 150e anniversaire de la découverte de La Tène.

Le Laténium, à Neuchâtel. Le Musée Schwab, à Bienne. Le Musée national suisse, à Zurich. Trois institutions qui abritent les plus importantes collections d'objets de La Tène (entre 450 et 20 avant Jésus-Christ) Trois musées qui, en cette année anniversaire, unissent leurs ressources pour jouer à fond leur rôle d'interface entre le public et la science.
Ainsi, hier, sur le site même des premières fouilles, le directeur du Laténium, Mathieu Honegger, a inauguré «l'Année des Celtes» avec sa consœur Madeleine Betschart, conservatrice du Musée Schwab, et une palette de chercheurs associés à l'aventure.

«La découverte de La Tène était si prestigieuse qu'elle a donné son nom à la seconde période de l'Age du fer», relève Mathieu Honegger. «Mais curieusement, c'est à l'extérieur de nos frontières, de l'Irlande à l'Allemagne en passant par la France, que la civilisation celte est la plus connue auprès du grand public.» Plus pour longtemps, toutefois. Le Laténium proposera au cours de l'année toute une série de réjouissances celtiques permettant de mieux connaître ce peuple qui possédait une maîtrise du fer extraordinaire. Pour leur part, le Musée Schwab et le Musée national suisse préparent une exposition itinérante qui sera montrée à Bienne dès le mois de juin, puis à Zurich et à Bibracte, en Bourgogne, lieu où les Helvètes furent défaits par l'armée de César en 58 avant Jésus-Christ.

Côté scientifique, des colloques seront organisés au Laténium, alors que le Musée Schwab intégrera à son exposition des thématiques inédites spécialement développées par des chercheurs suisses, allemands et français.

Madeleine Betschart, à l'origine du concept: «Ce jubilé nous offre l'occasion d'aller au-devant du grand public, mais aussi de faire la synthèse de toutes les connaissances sur le sujet et d'amorcer quelques pistes nouvelles...»

Car La Tène intrigue et fascine les archéologues depuis un siècle et demi. Les savants de l'époque pensèrent d'abord à un village lacustre. Mais il s'avéra que l'arsenal d'épées retrouvées, les fragments de chars, mors de chevaux, parures et outils en fer relevaient de la culture celtique. Par ailleurs, dans les années 1880, grâce à la Correction des eaux du Jura, on mit au jour deux ponts extraordinaires. On retrouva également des ossements d'animaux et d'humains, mais pratiquement pas d'objets usuels. Selon des recherches récentes, les crânes des chevaux étaient fixés et exposés sur des piques, alors que les têtes humaines portaient des stigmates de coups et de découpe, indices qui renvoient aux rituels celtiques. Que s'est-il passé à La Tène environ 200 ans avant notre ère? Etait-ce un lieu de sacrifice? Un sanctuaire guerrier? Même si en 2003, de nouvelles fouilles entreprises par le Service d'archéologie neuchatelois ont permis d'étayer certaines hypothèses, de nombreuses questions demeurent sans réponse. /CFA
Catherine Favre



La Tène, c’est quoi?

- Le site a été découvert en 1857 par un pêcheur du lac de Bienne dans les eaux peu profondes de la Thielle.

- La période La Tène donna son nom à la seconde partie de l’Age du fer dans toute l’Europe, soit 450 – 20 av. J.-C.

- Friedrich Schwab Collectionneur biennois à l’origine des premières fouilles de La Tène et fondateur du musée qui porte son nom.

- L’Année des Celtes 2007 Toute une série de manifstations seront proposées au Laténium, dont une Nuit du fer (19 mai) ou des agapes celtiques. Un film sera également réalisé et de nombreux objets seront restaurés. Le 24 juin, le Musée Schwab inaugurera un pont celtique dans ses jardins en ouverture à son exposition.

- La femme celte Le 8 mars, en hommage à la Vénus paléolithique du Laténium, le musée neuchâtelois ouvre ses portes à tous gratuitement.

- Infos www.latenium.ch ... www.muschwab.ch


«Un site fondateur de l’archéologie naissante»

La Tène a donné son nom à une époque et à une culture. Les publications ponctuelles foisonnent. Mais il manque une analyse synthétique de toutes les connaissances acquises depuis 15 ans, révisées à l’aune des questions actuelles. De même, un inventaire systématique des objets retrouvés fait toujours défaut. Ces lacunes seront toutefois comblées grâce au programme du Fonds national suisse de recherche scientifique (FNS), mis en œuvre sous la direction de l’archéologue lausannois Gilbert Kaenel. Entretien avec ce spécialiste de l’Age du fer.

La découverte du site de La Tène a-t-elle eu réellement un retentissement exceptionnel?

Ce fut une découverte de premier plan à l’échelle européenne. Ce site est emblématique et fondateur de l’archéologie naissante. En 1857, alors qu’on vient de mettre au jour les premiers sites lacustres trois ans auparavant, le monde scientifique se passionne pour les trouvailles de La Tène. Au fil des récoltes et fouilles successives, on s’aperçoit que les objets retrouvés sont beaucoup plus récents que les vestiges lacustres de l’Age de la pierre et du bronze. Et il faut rendre justice au paléontologue neuchâtelois Edouard Desor (1811-1882), qui réussit à établir une première chronologie de l’Age du fer divisée en deux périodes, qui deviendront celle de Hallstatt (800-450 av. J.-C.) et celle de La Tène (450-20 av. J.-C.)

Il reste beaucoup d’interrogations...

Oui, mais l’archéologie connaît un boom extraordinaire depuis 30 ans. A la lumière de trouvailles faites en Picardie, notamment, l’interprétation cultuelle du site de La Tène a été relancée, allant dans le sens d’un sanctuaire guerrier, avec un trophée où étaient exposées les armes, ainsi que les restes humains et animaux. Ce qui expliquerait les stigmates de pratiques rituelles retrouvés sur les ossements.

Et maintenant, qu’espérez-vous découvrir?

Nous espérons en apprendre davantage sur l’organisation du site dans l’espace, dans le temps et sur la signification des objets retrouvés. Grâce au projet du FNS, nous aurons enfin les moyens de reprendre l’analyse de La Tène à la lumière des nouvelles connaissances. Actuellement encore, la monographie de Paul Vouga, publiée en 1923, fait référence. Entre-temps, de nouvelles découvertes ont amené de nouvelles questions. Notre travail s’apparente à une enquête criminalistique, on doit réunir un faisceau d’indices, confronter les documents et les quelque 3000 objets retrouvés et disséminés dans le monde. Cette année 2007 marque 150 ans de découvertes archéologiques et un immense champ d’investigations ouvert devant nous. /cfa

e.

[ejds]

[url=http://www.tsr.ch/tsr/index.html?siteSect=200001&sid=8308938]"Par Toutatis!": les Celtes au Laténium
12.10.2007 17:17[/url]

Le Musée cantonal neuchâtelois d'archéologie marque le 150e anniversaire de la découverte du site celte de La Tène (NE). La civilisation celtique fera l'objet à partir de vendredi d'une exposition prévue jusqu'au 1er juin 2008.



La religion des Celtes sera exposée au Laténium d'Hauterive [Keystone]

Présentée vendredi à la presse, l'exposition, organisée au Laténium à Hauterive, est intitulée "Par Toutatis! La religion des Celtes". Les responsables de l'institution neuchâteloise ont collaboré avec le musée gallo-romain de Lyon.

Les reconstitutions effectuées par le musée français ont été adaptées au contexte du second Âge du fer (450 à 50 ans avant J.-C.), appelé aussi "civilisation de La Tène", d'après le site celte découvert à l'extrémité est du lac de Neuchâtel.


Vocation cultuelle

La scénographie de l'exposition propose un début d'interprétation de vestiges qui suscitaient jusqu'ici davantage d'interrogations que de certitudes. L'analyse des fouilles effectuées ces dernières décennies a permis de soupçonner la vocation essentiellement cultuelle des sites mis au jour.

"Le pont de bois découvert à La Tène est en passe d'être réinterprété comme un lieu de culte, mais les réponses définitives font encore défaut", a indiqué à ce sujet Marc-Antoire Kaeser, directeur du Laténium. Une cosmogonie typique apparaît en tout cas à l'analyse intégrée des vestiges. Les calendriers celtes marquent ainsi la préoccupation de faire coïncider les cycles du Soleil et de la Lune.

L'exposition montre aussi que les stèles celtiques pyramidales sont à interpréter comme le nombril du monde, dont le déploiement imite l'arborescence du chêne. Grâce à la reproduction en grandeur nature d'une entrée de sanctuaire, les responsables du Laténium tentent de restituer la dimension rituelle et sacrificielle de nombreux objets archéologiques de la période celte.

Sacrifices

Les crânes humains faisaient partie notamment de l'ornement des lieux de culte. Selon Marc-Antoine Kaeser, l'archéologie ne peut pas dire si des hommes ont été sacrifiés expressément pour les besoins du culte ou si les manipulations sur les crânes ont été opérées sur des personnes décédées. Il ne fait pas de doute en revanche que les sanctuaires celtes abritaient des sacrifices d'animaux.

Les archéologues ne comprenaient pas non plus la raison pour laquelle les épées retrouvées à La Tène étaient volontairement tordues et rendues inutilisables. Il semble aujourd'hui que ces armes étaient ainsi désacralisées - avant d'être enterrées lorsqu'on les sortait du sanctuaire.

ats/kot

e.

[ejds]

EXPO - ARCHÉOLOGIE

La religion celte sans cliché ni fantasme

http://www.lematin.ch/pages/home/loisir ... enu=335296

De récentes découvertes présentent les rites des Celtes sous un nouveau jour. On y apprend que les Gaulois ne pratiquaient pas la religion dans les forêts et qu'ils avaient un rapport très particulier avec la mort et avec les cadavres d'ennemis. L'exposition temporaire qui se tient actuellement au Laténium, à Hauterive (NE), en témoigne

Muriel Ramoni - 01/12/2007
Le Matin Dimanche

Les druides passaient-ils leur temps dans des forêts mystérieuses à cueillir le gui à l'aide de serpes d'or? Les Celtes étaient-ils des brutes sauvages pratiquant le sacrifice humain? Ces clichés, véhiculés dès l'époque romaine et repris en partie par les romantiques du XIXe siècle ou par la bande dessinée contemporaine, sont aujourd'hui remis en question par les archéologues.

Les fouilles des trente dernières années - notamment celles de plusieurs sanctuaires sur le territoire français et la mise au jour, l'an dernier en Suisse, du sanctuaire helvète d'Eclépens - témoignent en effet d'une réalité assez différente.

Cette histoire religieuse est aujourd'hui racontée au Laténium, à Neuchâtel. On a longtemps pensé que l'archéologie n'avait rien à dire sur la religion celtique. Ou pas grand-chose. Pour Marc-Antoine Kaeser, directeur du Laténium, les archéologues sont passablement restés «prisonniers des interprétations de deux mille ans de fantasmes véhiculés par les Grecs et les Romains». Mais grâce aux fouilles de plusieurs lieux de culte, les spécialistes du passé nous présentent désormais une nouvelle facette de la religion celtique.

Mises en scène d'ossements

Tout d'abord, celle-ci ne se pratiquait pas dans la forêt, comme le suggèrent les récits de l'historien romain Pline l'Ancien lorsqu'il décrit la cueillette du gui, mais dans des sanctuaires à la conception architecturale originale. Entre offrandes et sacrifices, mises en scène d'ossements humains et culte des ancêtres, les pratiques religieuses gauloises ont un arrière-goût macabre pour l'homme du XXIe siècle.

Une palissade en bois bordée d'un fossé plein d'ossements de chevaux et de restes humains. Une porte monumentale ornée de boucliers et d'épées et de crânes savamment sciés et formant des sortes de masques. Malgré son aspect militaire, l'enceinte est celle d'un sanctuaire, bâti au IIIe siècle av. J.-C., à Gournay-sur-Aronde (Picardie). A l'intérieur, un édifice cultuel abritait une fosse sacrificielle, où l'on laissait parfois pourrir la carcasse de l'animal mis à mort.

Le spectre du sacrifice humain

En plus du sacrifice traditionnel, ces fouilles ont révélé la pratique d'un autre rite: la désacralisation des armes prises à l'ennemi, attestée par la mise au jour de plus de 2000 armes rendues inutilisables et jetées dans des fosses.

D'autres rites de la victoire - plus impressionnants - sont connus en Gaule, notamment à Ribemont-sur-Ancre, dans la Somme. Tout semble montrer que les Celtes récupéraient les cadavres ennemis, leur tranchaient la tête et laissaient pourrir les corps décapités qu'ils fixaient, debout et en armes, aux poutres de bois d'un petit bâtiment.

Le sacrifice humain, un fantasme de Romain? Même si ces rites étaient pratiqués sur des morts, les découvertes de Ribemont réveillent le spectre du sacrifice humain, dont on a beaucoup dit qu'il était pratiqué chez les Gaulois. Les archéologues s'interrogent aujourd'hui sur sa réalité. «Aucune société ne dit d'elle-même qu'elle pratique le sacrifice humain, nuance Marc-Antoine Kaeser. C'est quelque chose que l'autre, le barbare, pratique, mais jamais soi.»

Squelettes accroupis

Selon l'archéologue neuchâtelois, les squelettes, dont la position accroupie a longtemps suggéré que ces hommes avaient été sacrifiés, sont aujourd'hui compris comme étant les corps de personnages importants ensevelis de façon particulière - certaines figurines représentent en effet les dieux celtes dans cette position. Reste que le traitement infligé au corps des ennemis, et même des siens, a de quoi surprendre.

«Quand les Romains ont vu cela ou en ont entendu parler, ils ont fantasmé, explique le directeur du Laténium. Ils ont condamné la barbarie des Celtes pour mieux affirmer leur différence.» L'archéologie peut donc difficilement dire s'il y avait sacrifice humain.

Et s'il n'y avait qu'une chose à retenir de la religion celtique? «Les Celtes avaient un rapport à la mort qui doit nous questionner sur notre propre négation du monde des morts aujourd'hui», conclut sereinement Marc-Antoine Kaeser.

La déesse ourse vénérée près de Berne

Autre cliché auquel l'archéologie met fin: la religion gauloise n'a pas disparu après la conquête romaine. Plusieurs objets attestent en effet de la pérennité des cultes celtiques sous l'Empire, notamment en Suisse, près de Berne, où l'on a retrouvé une figurine de bronze, représentant la déesse ourse Artio. Une femme assise fait face à la divinité animale: «Il s'agit de sa traduction romaine, explique Marc-Antoine Kaeser, directeur du Laténium. L'objet, dédicacé par une femme de la noblesse romaine, est de belle facture, et quand on le retourne on constate que le personnage féminin a été ajouté; c'est aussi pour cela que l'arbre, à gauche, dépasse du socle.» Le culte de la déesse ourse près de Berne explique-t-il la présence de l'animal sur les armoiries du canton? Officiellement, non, car pour la petite histoire, le duc de Zähringen, fondateur de la ville, aurait tué un ours, «Bär» en allemand, d'où le nom et le symbole de la ville. Officieusement, la question mérite d'être posée, puisque l'on sait aujourd'hui que l'origine du nom Berne ne vient pas de «Bär», mais de la bourgade celte Brenodurum.


À VOIR
«Par Toutatis! La religion des Celtes»,
Laténium,
Parc et Musée d'archéologie, Hauterive (NE).
Jusqu'au 1er juin 2008.

e.

[ejds]

Fondée sur une exposition présentée au Musée Schwab de Bienne l'an dernier, l'exposition, qui se tient jusqu'au 15 février 2009, ira ensuite faire une étape en France (Musée de la civilisation celtique de Bibracte), puis marquera un arrêt en Allemagne (Kelten Römer Museum de Manching) :

Zurich: lancement de la tournée de La Tène

24.09.2008 15:06

Depuis sa découverte en 1857, le site de La Tène n'a pas encore dévoilé tous ses secrets. Sous le titre "Culte celtique sur le lac de Neuchâtel - La Tène", une exposition itinérante présente de nouvelles hypothèses sur sa signification.


---------
[url=http://www.tsr.ch/tsr/index.html?siteSect=200001&sid=9768175]---------Cérémonies ou rituels? Les archéologues
---------se creusent la tête. [Reuters] [/url]

http://www.tsr.ch/tsr/index.html?siteSe ... id=9768175

En 1857, plus de 4000 objets, armes, outils, ossements humains et d'animaux ont été découverts près de deux ponts, à l'extrémité nord du lac de Neuchâtel. Ils y étaient déposés depuis 250 à 150 avant notre ère.

Qu'était véritablement La Tène? Quelle était la fonction des deux ponts? Y célébrait-on des cérémonies ou des rituels? Ce sont quelques-unes des questions abordées dans l'exposition qui ouvrira ses portes vendredi au Musée national suisse à Zurich.

Celle-ci offre un aperçu fascinant de l'univers des Celtes et de l'histoire du célèbre site des bords du lac de Neuchâtel. Elle présente les derniers résultats obtenus par les archéologues, les historiens et les archéozoologues, ainsi que les recherches menées sous la direction du Fonds national suisse (FNS).

ats/jeh

e.

[ejds]

Pour info :

Festival celtique à La Tène

03.03.2009 | 12:26 |

http://www.rfj.ch/rtn/Actualite/Regiona ... -Tene.html

La nouvelle commune de La Tène aura désormais son festival de musique celtique. La Tène Festival se tiendra les 27, 28 et 29 août de l’année 2010.

Ses organisateurs ont dévoilé aujourd’hui les premiers contours de la manifestation.

Trois jours avec concerts et animations culturelles au sein d’un village de l’époque du second Âge de fer, soit il y a 2200 ans. Le budget s’établit à près d’un demi-million de francs. Six mille festivaliers sont attendus.

La programmation musicale n’est pas encore définie mais Daniel Rotsch, chef du projet et président de la commune de La Tène, compte sur l’aide de Christophe Valley, le président de Festi’Neuch. Ce dernier fait partie du comité d’organisation de La Tène Festival.

Les associations locales et le Laténium apporteront également leur concours à la manifestation. /gw

e.

[Genava]

Salut tout le monde,
Dites moi, y a t-il de bons bouquins, assez récent, sur les helvètes?
Étant Suisse je me dois de trouver des livres sur eux

[ejds]

Dites moi, y a t-il de bons bouquins, assez récent, sur les helvètes?

Étant Suisse je me dois de trouver des livres sur eux

Bjr Genava,

Vaste programme !

Je te conseille surtout la visite des musées en archéologie suisse qui référencent et proposent les dernières éditions de livres sur le sujet :

http://www.archaeologie.ch/f.htm

e.

[Genava]

J'ai visité deux fois cette exposition, les illustrations sont excellentes! Même si quelques fautes en font parti (légionnaires césariens avec casque montefortino, bouclier rond d'un cavalier etc.).
http://www.ville-ge.ch/mah/index.php?co ... sub=presse


http://www.landesmuseen.ch/f/ueberuns/p ... ectID=2214
http://www.vd.ch/fileadmin/user_upload/ ... sLeman.pdf

ici vous pouvez prendre quelques images, même si elles ne sont pas en grand format:
http://www.musees-vd.ch/fr/musee-darche ... -au-leman/

et voici quelques vidéos:
http://wwwedu.ge.ch/sem/production/stre ... cesar.html

[ejds]

Les Dossiers d'Archéologie, n° 333- mai/juin 2009, reviennent sur la construction du Laténium, le grand musée archéologique de Neuchâtel.

De nombreuses informations sur la période celtique : armement et chars à quatre roues, construction navale... :

http://www.dossiers-archeologie.com/

Description de l'éditeur :

Inauguré en 2001 aux abords du site mythique de La Tène, le Laténium est le plus grand musée archéologique de Suisse. Lauréat du Prix du musée du Conseil de l’Europe, il met en scène, selon une muséographie novatrice, les enseignements des grandes opérations de sauvetage programmé réalisées ces dernières décennies.

Le numéro spécial consacré à ce musée emblématique réunit les contributions de vingt-quatre chercheurs, qui synthétisent les acquis des connaissances récentes et présentent les nouvelles perspectives de la recherche archéologique en Suisse, des campements de chasseurs du Paléolithique supérieur jusqu’à la fin de l’Antiquité.