Alexandre, d'où tiens-tu cette information qui me paraît quelque peu farfelue ? Quand on voit, en Bretagne, les difficultés quasi insurmontables pour redonner de la vigueur à une langue qui n'est pas encore tout-à -fait morte, on voit mal comment on peut, aujourd'hui encore, trouver dans les différentes zones de la gaeltacht une langue vernaculaire avec ses variantes dialectales.Au XIXème siècle, l'irlandais a été brièvement une langue morte, jusqu'à ce que les détenus de l'IRA découvrent que les gardiens de prison anglais ne les comprenaient pas quand ils parlaient entre eux dans cette langue