Mais justement, est-ce qu'on sait si ces termes étaient perçus comme grossiers ? On ne le saura peut-être jamais, et la traduction dans des termes grossiers de notre époque est donc une interprétation.Alexandre a écrit:Si un mot gaulois se traduit comme "bonne à baiser", un traducteur se doit de le traduire comme tel. Sinon, il fait un contre-sens.