Difficile à photographier avec sa mère qui la surveille férocement.
Alexandre devrait porter sa boule de cristal au SAV, des soucis apparemment.
![Razz :P](./images/smilies/icon_razz.gif)
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Toc! Toc!Modérateurs: Pierre, Guillaume, Patrice La t'tite dernière de la famille, à peine un mois...
Difficile à photographier avec sa mère qui la surveille férocement. Alexandre devrait porter sa boule de cristal au SAV, des soucis apparemment. ![]() Muskull / Thomas Colin
Comme l'eau modèle la terre, la pensée modèle le possible. http://muskull.arbre-celtique.com/ http://thomascolin.fr
Bonjour
![]() il est mignon tout plein ce chaton, Muskull. Tu en as beaucoup ? "Quand une phrase ténébreuse, alambiquée vous donne le vertige, souvenez vous que ce qui donne le vertige c'est le vide."
Sacha Guitry
Bonjour Sule,
3 en ce moment... Une photo de la mère qui tire la langue à Alexandre. ![]() Muskull / Thomas Colin
Comme l'eau modèle la terre, la pensée modèle le possible. http://muskull.arbre-celtique.com/ http://thomascolin.fr
![]() Bébé ![]() Chez nous, pas d'animaux, au grand désespoir des enfants ![]() Chez mes beaux-parents, il ne reste plus qu'un chat, et dans le jardin, des hérissons et tortues... "Quand une phrase ténébreuse, alambiquée vous donne le vertige, souvenez vous que ce qui donne le vertige c'est le vide."
Sacha Guitry
A propos de chats, je me permets de lancer ici un appel en faveur de la SPA de Saverne (Bas-Rhin, Alsace) qui est actuellement débordée de chatons. Si vous habitez la région et si la compagnie d'un minou orphelin ne vous déplairait pas, allez-y... Pour avoir de plus amples renseignements, visitez leur site internet... (Je n'ai plus l'adresse en tête)
C'était juste un appel (pardon Pierre. C'est vrai que de toute manière, ce forum est un peu ... la foire à tout ![]() "Quand une phrase ténébreuse, alambiquée vous donne le vertige, souvenez vous que ce qui donne le vertige c'est le vide."
Sacha Guitry
Et puis il y a cette gracieuse anecdote rapportée par Malraux dans ses Antimémoires : à Nehru qui lui disait "Vous voilà ministre", Malraux répond par l’histoire de Mallarmé surprenant une nuit une conversation de chats dans la gouttière.
Un chat noir interroge sur ses occupations le chat du poète, qui répond : "En ce moment, je feins d’être chat chez Mallarmé"... André-Yves Bourgès
Salut à tous,
Viens, mon beau chat, sur mon coeur amoureux ; Retiens les griffes de ta patte, Et laisse-moi plonger dans tes beaux yeux, Mêlés de métal et d'agate. Lorsque mes doigts caressent à loisir Ta tête et ton dos élastique, Et que ma main s'enivre du plaisir De palper ton corps électrique, Je vois ma femme en esprit. Son regard, Comme le tien, aimable bête Profond et froid, coupe et fend comme un dard, Et, des pieds jusques à la tête, Un air subtil, un dangereux parfum Nagent autour de son corps brun. Baudelaire, Les fleurs du mal, Le chat. A+
Salut à tous
I Dans ma cervelle se promène, Ainsi qu'en son appartement, Un beau chat, fort, doux et charmant. Quand il miaule, on l'entend à peine, Tant son timbre est tendre et discret; Mais que sa voix s'apaise ou gronde, Elle est toujours riche et profonde. C'est là son charme et son secret. Cette voix, qui perle et qui filtre Dans mon fonds le plus ténébreux, Me remplit comme un vers nombreux Et me réjouit comme un philtre. Elle endort les plus cruels maux Et contient toutes les extases; Pour dire les plus longues phrases, Elle n'a pas besoin de mots. Non, il n'est pas d'archet qui morde Sur mon coeur, parfait instrument, Et fasse plus royalement Chanter sa plus vibrante corde, Que ta voix, chat mystérieux, Chat séraphique, chat étrange, En qui tout est, comme en un ange, Aussi subtil qu'harmonieux! II De sa fourrure blonde et brune Sort un parfum si doux, qu'un soir J'en fus embaumé, pour l'avoir Caressée une fois, rien qu'une. C'est l'esprit familier du lieu; Il juge, il préside, il inspire Toutes choses dans son empire; Peut-être est-il fée, est-il dieu? Quand mes yeux, vers ce chat que j'aime Tirés comme par un aimant, Se retournent docilement Et que je regarde en moi-même, Je vois avec étonnement Le feu de ses prunelles pâles, Clairs fanaux, vivantes opales, Qui me contemplent fixement. Baudelaire A+ Dernière édition par DT le Sam 19 Juil, 2008 8:48, édité 1 fois.
Très bien vu André-Yves
![]() Je considère d'ailleurs que ces quelques chats viennent "chez nous" parce qu'ils s'y plaisent. Ce ne sont pas "mes" chats et je n'oserais surtout pas les "couper" ou autres choses de ce genre comme les vaccins paranoïaques. ![]() Il y a une histoire un peu comparable à la tienne que j'ai lu: Charles dickens avait, ludique, passé une annonce dans un journal: Perdu un chat noir, plus noir que la nuit, si noir que même le jour on ne le voit pas. ![]() Il a reçu une vingtaine de réponses comme quoi on l'avait "vu". ![]() Muskull / Thomas Colin
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Un grand merci pour Baudelaire cher DT
![]() Mais ainsi va le monde, nous préférons les chattes n'est-il pas ? Il y a en elles une complaisance, un certain confort actif partagé et espéré très rassurant ainsi que cette dolence pacifiée et murmurante de l'une à l'autre. Connivence et reconnaissance en cet apaisement... ![]() Muskull / Thomas Colin
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Bonjour
![]() décidément, les Bretons sont sages... J'en ai retenu quelques uns qui prêtent vraiment à la réflexion. "Quand une phrase ténébreuse, alambiquée vous donne le vertige, souvenez vous que ce qui donne le vertige c'est le vide."
Sacha Guitry
Salut à tous,
MA BOHEME, Fantaisie d'Arthur Rimbaud Je m'en allais, les poings dans mes poches crevées, Mon paletot aussi devenait idéal; J'allais sous le ciel, Muse ! et j'étais ton féal; Oh la la ! que d'amours splendides j'ai rêvées ! Mon unique culotte avait un large trou. - Petit Poucet rêveur, j'égrenais dans ma course Des rimes. Mon auberge était à la Grande Ourse. - Mes étoiles au ciel avaient un doux frou-frou. Et je les écoutais, assis au bord des routes, Ces bons soirs de septembre où je sentais des gouttes De rosée à mon front, comme un vin de vigueur; Où, rimant au milieu des ombres fantastiques, Comme des lyres, je tirais les élastiques De mes souliers blessés, un pied près de mon coeur ! A+ ![]()
restons à Paname et à ses minous
![]() ![]() Un bistrot très célèbre de Pigalle où Eric Satie jouait (et buvait) en son temps. Si vous ne le connaissez pas foncez ! C'est un pianiste génial et les titres de ses morceaux des poèmes en deux ou trois mots. ![]() Muskull / Thomas Colin
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