André-Yves Bourgès a écrit:Je jette l'éponge, n'ayant obtenu d'autres réponses à mes objections que des invectives de la part de J.-C. Even. Ce procédé permanent d'attaques ad hominem est inacceptable, de même que celui qui consiste à déformer systématiquement les propos de son contradicteur : pour ma part, je considère que de tels procédés n'ont évidemment pas leur place dans le débat et disqualifie leur promoteur.
Indubitablement, procédés déplorables et blâmables et qui ne font plus recette, et qui conduisent aux syndromes collectifs de l'entonnoir.
A la lourdeur et répétition des propos absurdes et pathétiques, les thèmes de l'aliénation, de la persécution et de la brimade se rapprochent de l’imaginaire kafkaïen, à un système dont les lois échappent à celui qui en est prisonnier.
Et, à force de déformer la réalité, de travestir la vérité, de s'amuser à brouiller les pistes, se retournent contre lui :
![Sad :(](./images/smilies/icon_sad.gif)
pagesperso-orange.fr/mondalire a écrit:Franz KAFKA
"Souvent, dans les rêves de Monsieur K., se dressait l’ancien château."
http://pagesperso-orange.fr/mondalire/kafka.htm
Mensonge et subversion :
Parfaitement conscient d'être pris dans un paradoxe insoluble, persuadé, d'autre part, que ce paradoxe est la seule réalité qui existe, du moins pour lui, Kafka l'illustre en manipulant insidieusement le mensonge et la subversion. Il délègue à ses personnages la double fonction de victimes et de fauteurs de troubles. L'ironie et la force subversive de ses textes résident dans le jeu entre la surface et les profondeurs, la vérité apparente et le mensonge réel. Ainsi, dans les premières pages du Château, K. ne cesse de mentir ou de se contredire. Tout en donnant à ses personnages les caractéristiques de la victime, Kafka glisse furtivement d'autres indices, parfois à peine visibles, qui réduisent à néant ce qui vient d'être suggéré: jeu avec le lecteur qui met en évidence le décalage entre illusion et réalité, erreur et vérité. Il en résulte un effet comique particulièrement destructeur, de sorte qu'il ne reste plus qu'un rire feutré, celui que fait entendre Kafka lorsqu'il s'observe dans le monde.
e.