ejds a écrit:De cet embrouillamini d’épée devenu gourdin à trois nœuds (clava trinodis), Arthur, comme redresseur de tors, lutte contre le dragon, celui qui est dans le mal et fait le mal. Probablement que le premier nœud est destiné comme coup de semonce pour avertir, le deuxième pour mieux faire comprendre, et finalement le troisième pour y'a pas, faut que çà rentre !?!
Il est dangereux d'essayer de plaquer des conceptions vaguement chrétiennes pour expliquer des notions païennes.
D'une manière générale, la meilleure façon d'analyser un mythème (ici la massue d'Arthur) consiste à se référer à des sources primaires - des textes antiques - ou à des auteurs modernes qui renvoient explicitement à des sources primaires. Ce n'est pas l'impression que me donnent les références données ici.