Seul Marcellus de Bordeaux nous signale le nom gaulois du nénuphar. Voici ce qu'il écrit: "Il y a une plante qui s'appelle nymphéa en grec, massue d'Hercule en latin, et baditis en gaulois" (De la matière médicale, XX, 68). Provient très certainement de la racine celtique "*bãd-" (plonger, noyer, immerger), ce qui donnerai la "plante qui est immergée".