En langue gauloise le 'g' intervocalitique tend à disparaître. C'est le cas par exemple avec les Boïens dont le nom dérive d'un gaulois *bogio. Du terme cagiion (haie, clôture) sur une inscription de Cajarc dans le Lot, que nous retrouvons sous la forme caio sur le glossaire d'Endlicher. Ce même phénomène se rencontre dans l'épigraphie classique avec : Maupennos pour Magupennos, Catuenus pour Catugenus, etc...