Si un homme n'avait pas de fils, ses filles peuvent hériter d'une participation a vie dans ses terres, ce qui les installent dans la même pleine capacité légale qu'un homme. Dans le cas où elle épouserait un homme sans terre ou un étranger, les rôles légaux dans le mariages sont inversés : elle paye les taxes pour lui et prend les décisions pour la maison commune. Toutefois, à sa mort, la propriété n'est pas héritée par son mari ou ses fils, mais elle est reversée à sa propre parenté.
Ce texte a été initialement rédigé par par le Pr. Raimund Karl, diplomé
en Etudes Celtiques de l'Université de Vienne (Autriche), et professeur à
l'Université de Bangor (Pays de Galles). Il met cette introduction à disposition
du public, à condition qu'on cite son nom, ce qui est la moindre des choses, et son
adresse e-mail : a8700035@unet.univie.ac.at et que ce texte ne soit pas utilisé
à des fins commerciales. Traduit, et adapté pour cette encyclopédie celtique par Fergus Bodu.