Dans la Chanson d'Aiquin, il est un passage qui traite de l'histoire de l'épouse du vieil Hoès.
Résumé par J-C LOZAC'HMEUR :
" Après la bataille (de Quidalet), le vieil Hoès raconte aux chevaliers français l'histoire de son épouse : elle était la fille du robuste Corsout. Elle entreprit de construire une route qui conduirait de Carhaix à Paris. La vue d'un merle mort lui fit découvrir la vanité des choses humaines. Elle renonça à son projet. Hoès est maintenant veuf depuis bientot cent ans et bien décidé à ne pas se remarier, car un viel homme ne peut etre aimé d'une jeune femme. Les Français approuvent chaudement sa résolution".
Quid : Merle mort > symbole des vanités humaines ?
La chanson d'Aiquin. par Jean-Claude LOZAC'HMEUR et Maud OVAZZA. Ed. Picollec. Paris. 1985.
JC Even