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APPIEN : Textes sur les Gaulois

Déposez vos questions/remarques sur ce forum consacré aux connaissances actuelles concernant les Celtes...

Modérateurs: Pierre, Guillaume, Patrice

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20 messages • Page 2 sur 2 • 1, 2

Messagede Fergus » Mar 02 Jan, 2007 16:00

GUERRES CIVILES.

IV (0). Après Sylla, de pareilles [discordes] s'allumèrent encore jusqu'à ce que Gaius César, investi par élection d'un pouvoir qu'il garda longtemps en Galatie (Gaule), répondit au sénat qui lui ordonnait de s'en démettre, en accusant, non le sénat, mais Pompée : Pompée était son ennemi ; il était à la tête de l'armée d'Italie ; il méditait de lui retirer son commandement. César propose des conditions ou bien les deux généraux gardent leurs armées pour n'avoir pas à craindre l'inimitié l'un de l'autre ; ou bien Pompée, ayant licencié ses troupes, rentre pareillement dans la vie privée sous les lois. Mais il ne gagna rien ni sur un point ni sur l'autre, et, quittant la Galatie (Gaule), il marcha contre Pompée et contre sa patrie...

XXIX Apuleius porta une loi pour le partage des terres qui, dans ce qu'on appelle aujourd'hui Galatie (Gaule) romaine, avaient été occupées par les Cimbres, peuple de race celtique. Ces barbares, Marius les en avait chassés naguère, et, jugeant que ce pays n'était plus aux Galates (Gaulois), il l'avait distrait de la Galatie (Gaule) pour le donner aux Romains.

XLII (0). Sextus César prend avec lui dix mille fantassins Galates (Gaulois), des Nomades (Numides) et des Maurusiens (Mauritaniens), cavaliers et fantassins, et marché contre Acherres.

L. Un renfort de Galates (Gaulois) lui étant arrivé, il (Cluentius) se rapprocha de Sylla. Quand les deux armées furent en présence, un Galate (Gaulois), d'une haute stature, provoqua un des Romains au combat. Un Maurusien de petite taille lui tint tête et le tua ; les Galates, frappés de terreur, s'enfuient aussitôt...

LXI. Marius échappa à toutes les recherches ; il arriva à Minturnes, n'ayant avec lui ni un officier ni un serviteur. Comme il se reposait dans une maison très sombre, les magistrats de la ville effrayés par le décret du peuple (qui le mettait hors la loi), mais se donnant bien de garde de se faire les meurtriers d'un homme qui avait été six fois consul et avait accompli tant de grandes choses, envoyèrent avec une épée pour le tuer un Galate (Gaulois) qui demeurait chez eux. Le Galate, dit-on, en s'avançant dans les ténèbres vers le grabat de Marius, eut peur : il avait cru voir jaillir des yeux de Marius des éclairs et des flammes. Ce fut bien autre chose lorsque Marius lui-même, se dressant hors de sa couche, lui cria d'une voix forte : « Oserais-tu bien, toi, tuer Gaius Marius? » Le Galate fit volte-face et s'enfuit dehors, semblable à un fou et criant : « Je ne puis tuer Gaius Marius. »...

LXII. Les magistrats de Minturnes. persuadés que le Galate avait obéi à un dieu, et que d'un dieu lui était venu cet effroi, renvoyèrent aussitôt Marius de leur ville, pour qu'il se sauvât où il pourrait...

LXVI (0)... Pour avoir des troupes (les consuls Octavius. et Mérula) envoyèrent dans les autres villes qui leur obéissaient encore et dans les contrées de la Galatie (Gaule) les plus voisines.

LXVII. ... (0). Cinna envoya occuper Ariminum pour fermer l'entrée de cette ville à des troupes venant de la Galatie (Gaule) romaine.

LXXVV... (0). Lutatius Catlus, collègue de Marius dans la guerre contre les Cimbres.... Ces affranchis, Cinna qui souvent leur avait interdit (toutes ces violences) sans rien gagner, les fit envelopper la nuit, pendant qu'ils reposaient encore, par une troupe de Galates (Gaulois) et massacrer jusqu'au dernier...

LXXVII (0). Sylla, dans son orgueil, écrivit au sénat une lettre où il énumérait tout ce qu'il avait fait en Libye contre Jugurtha le Nomade (Numide), alors qu'il était encore questeur, dans la guerre des Cimbres en qualité de lieutenant, etc.

LXXXVI (0). Sans cesse grossissaient les armées des consuls (Gaius Norbanus et L. Scipion), grâce aux renforts qui leur venaient et de l'Italie dont la plus grande partie était encore avec eux, et de la Galatie voisine qui entoure L'éridan (Gaule circumpadane). Sylla, de son côté, ne s'endormait pas...

XCII Tous les Galates (Gaulois) qui s'étendent de Ravenne aux Alpes passèrent en masse du côté de Métellus...

CVII. Lépidus, à qui le sort avait donné la Galatie transalpine, ne revint point pour les comices.

CIX. Il (Pompée) passa d'un fier courage les monts Alpes, non pas par la route si laborieuse d'Hannibal, mais par une autre qu'il ouvrit entre les sources du Rhône et de l'Eridan. Ces deux fleuves sortent des monts Alpes, non loin l'un de l'autre, et coulent, l'un à travers la Celtique, transalpine, vers la mer Tyrrhénienne, l'autre en deçà des Alpes, vers la mer Ionienne; c'est celui qui, au lieu du nom d'Eridan, a pris le nom de Pô...

CXVII... (0). Spartacus courait à travers les monts Apennins vers les Alpes, pour descendre, des Alpes, chez les Celtes, quand l'un des consuls l'empêcha de fuir, tandis que l'autre le poursuivait...
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Messagede Fergus » Mar 02 Jan, 2007 16:04

GUERRES CIVILES. II.

IV. Tels étaient les desseins de Lentulus, de Céthègus, de Statilius et de Cassius, les chefs de l'insurrection, et ils épiaient le moment favorable. Des députés des Allobroges étaient [à Rome] pour accuser ceux qui les gouvernaient. Entraînés dans la conjuration de Lentulus, ils devaient soulever la Galatie (Gaule) contre les Romains. Lentulus avait envoyé avec eux à Catilina Vulturcius de Crotone, porteur de lettres sans suscription. Les Allobroges eurent des doutes : ils les communiquèrent à Fabius Sanga qui était-le patron de leur nation. - Toutes les cités ont à Rome un patron. - Cicéron, averti par Sanga, fit arrêter à leur départ les Allobroges ainsi que Volturcius et les mena tout de suite au Sénat. Ils avouèrent toute leur complicité avec Lentulus, et quand ce dernier fut amené devant eux, ils le convainquirent lui, Cornèlius Lentulus, d'avoir dit souvent que, suivant les arrêts du destin, trois Cornelius devaient régner dans Rome ; qu'il y avait eu déjà Cornelius Cinna et Cornèlius Sylla.

VII (0). Catilina avait rassemblé environ 20,000 hommes, dont le quart étaient déjà armés : il s'en allait en Galatie (Gaule) pour achever ses préparatifs, lorsque Antonius, l'autre consul, l'ayant surpris au delà des Alpes, le vainquit sans peine.

XIII... (0). Aussi) fut-il choisi pour commander durant cinq ans les Galaties d'en deçà et d'au delà les Alpes, avec quatre légions pour exercer son commandement.

XIV... (0). Clodius paraît avoir été le premier à témoigner sa reconnaissance à César qu'il aida à obtenir le commandement en Galatie (Gaule).

XVII (0). César, après avoir fait chez les Celtes et chez les Bretons de nombreux et brillants exploits que nous avons racontés en parlant des Celtes, s'en vint, gorgé de richesses, dans la Galatie qui est limitrophe de l'Italie et s'étend autour de l'Eridan, pour donner, après une guerre continuelle, un peu de repos à son armée.

XXV... (0). Il (César) demandait au Sénat de lui octroyer un peu plus de temps pour son gouvernement de la Galatie (Gaule) ou, du moins, d'une partie de ce pays. Marcellus, le consul qui vint après Pompée, s'y opposa, et l'on dit que César, quand on lui signifia ce refus, répondit en frappant la poignée de son épée : « Voici qui me le donnera. »

XXVI (0). César avait fondé dans les Alpes la ville de Néocomum avec droit latin, et tous ceux des habitants qui y avaient exercé une magistrature annuelle devenaient par là même citoyens romains, - car tel est l'effet du droit latin. Un habitant de cette ville qui y avait été magistrat et qui, à ce titre, était considéré comme citoyen romain, fut, par ordre de Marcellus et pour faire injure à César, battu de verges à l'occasion d'un délit quelconque. - C'est une peine qu'on n'inflige jamais à un citoyen romain...

XXVIII... (0). Revenu à Rome, il (Pompée) parla dans le même sens ; il promettait encore à cette heure de déposer le pouvoir ; et, en qualité d'ami et d'allié de César, César aussi, disait-il, le déposera bien volontiers après avoir soutenu une guerre si longue, si laborieuse contre les peuples les plus belliqueux, après avoir fait pour sa patrie de grandes conquêtes, il viendra chercher ici des honneurs, des sacrifices, le repos...

XXIX... (0). Avant de se séparer, les sénateurs avaient pourtant porté un décret, un seul, celui-ci : César et Pompée enverraient chacun une de leurs légions en Syrie, pour la garde de cette province, à cause du désastre de Crassus. Mais Pompée, rusant encore, réclamait la légion que naguère il avait prêtée à César à l'occasion du récent désastre de ses deux lieutenants Titurius et Cotta. Or, cette légion, César, après avoir donné à chaque homme une gratification de 250 drachmes, l'envoya à Rome, et avec elle une autre des siennes. Mais comme aucun danger ne se montrait du côté de la Syrie, ces troupes hivernèrent à Capyè (Capoue).

XXX (0). Ceux qui avaient été envoyés par Pompée au sujet de ses légions, répandaient encore beaucoup d'autres méchants bruits contre César : ils affirmaient à Pompée que les soldats de César étaient usés par les fatigues et le temps, qu'ils n'aspiraient qu'à revoir leurs foyers, qu'ils se donneraient à lui dis qu'ils auraient passé les Alpes. Ils parlaient ainsi par ignorance ou parce qu'ils étaient corrompus...

XXXI (0). Un faux bruit courut soudain que César avait passé les Alpes et qu'il marchait sur la ville : il y eut alors un grand tumulte, une alarme universelle...

XXXII (0). [César] venait de traverser l'océan en revenant de la Bretagne, et courant de chez les Celtes des bords du Rhin aux Alpes, il avait franchi ces montagnes avec cinq mille hommes de pied et trois cents chevaux ; il descendait à Ravenne, place qui confinait à l'Italie et se trouvait à la limite extrême de son gouvernement... Il jugeait à propos de faire encore des tentatives pour un accommodement. Il engageait ses amis à traiter pour lui aux conditions suivantes: il abandonnerait les autres peuples, les autres armées : il n'aurait que deux légions et l'Illyrie avec la Galatie en deçà des Alpes, en attendant qu'il fût nommé consul...

XXXIV (0). C'était dès lors de part et d'autre guerre ouverte et assez nettement déclarée. Le Sénat, croyant qu'il faudrait du temps à César pour faire venir son armée de chez les Celtes, et qu'il n'oserait pas lui-même avec si peu d'hommes se jeter dans une telle entreprise, ordonna à Pompée César, de son côté, avait envoyé quérir son armée. Mais préférant toujours la rapidité d'exécution qui étonne et l'audace qui effraye à la puissance des armements, il se résolut à entreprendre une si grande guerre avec ses cinq mille hommes, et à occuper des points avantageux en Italie.

XXXV (0). Il envoie donc en avant ses lochages (centurions) avec un petit nombre de soldats des plus déterminés, mais en pacifique équipage, pour entrer dans Ariminum et s'emparer soudainement de cette ville. C'est la première que l'on rencontre en Italie, en sortant de la Galatie. Lui-même, vers le soir, comme s'il était incommodé, il quitta la salle où il mangeait avec ses amis, les laissant à table, et étant. monté dans une voiture, il poussa vers Ariminum, suivi à distance par ses cavaliers. Arrivé en courant. près du Rubicon, le fleuve qui borne l'Italie, il s'arrêta là dans sa course, et, les yeux fixés sur ce petit cours d'eau, il avait l'esprit. agité à la pensée de tous les malheurs qui arriveraient s'il passait en armes ce ruisseau...

XLI... Il brisa les portes des trésors publics, et comme un des tribuns du peuple, Métellus, l'en empêchait, il le menaça de la, mort. Il puisa dans ces caisses demeurées intactes, dans ces dépôts. amassés, dit-on, jadis, au temps des Celtes, avec des imprécations publiques contre quiconque y toucherait, sauf le cas d'une guerre celtique. Il dit à ce sujet qu'en ayant fini une bonne fois avec les Celtes, il avait ainsi aboli pour la République ces imprécations... il donna la Galatie d'en deçà les Alpes à Licinius Crassus.

XLVII... (0). César en est instruit ; il accourt de Marseille à Plaisance ; il se hâte, et comme à son arrivée la sédition durait encore, il parle ainsi [à ses soldats] : « De quelle célérité j'use en tout, vous le savez comme moi. Si la guerre marche lentement, ce n'est pas à nous qu'il faut s'en prendre, mais à l'ennemi qui se dérobe par la fuite. Et c'est vous qui, après avoir en Galatie (Gaule) si bien profité de mon commandement, après m'avoir prêté serment pour toute cette guerre, et non pour une partie seulement, c'est vous qui nous abandonnez au milieu de nos travaux ! .... »

XLVIII... Il envoya des généraux chez les divers peuples... dans la Galatie (Gaule) récemment conquise, Decimus Brutus....

XLIX (0). César avait alors dix légions d'infanterie et dix mille cavaliers celtes.... Pompée, entre autres auxiliaires, quelques cavaliers celtes et d'autres de la Galatie (Gaule) d'Orient.

L (0). « Et nos ancêtres eux-mêmes, lors de l'invasion des Celtes, ont quitté leur ville, et celui qui la sauva, ce fut Camille accouru de chez les Ardéates... Et quand il (César) agit ainsi contre sa patrie, il a à sa suite quelques mercenaires payés avec l'argent qu'il attiré de cette Galatie (Gaule) qui est à nous... »

LXIV... (0). Ces affamés (les soldats de César au pillage de Gomphes) se gorgèrent de toutes sortes de choses à la fois, et ils s'enivrèrent vilainement ; les Germains surtout étaient ridicules dans leur ivresse...

LXV.... (0). Afranius était d'avis... que Pompée s'en rendit maître (de l'Italie), ainsi que de la Galatie (Gaule) et de l'Ibérie, et que, partant des foyers, du siège même de l'empire, il reprît la campagne contre César...

LXX Pour auxiliaires (à la bataille de Pharsale), César avait des cavaliers celtes (Cisalpins) et un autre corps de Celtes d'au delà les Alpes...

LXXI... Du côté de Pompée se trouvaient en outre des rois et des dynastes conduisant des troupes, notamment Déjotaros, le tétrarque des Galates orientaux...

LXXIII (0). « Les voilà, mes braves, ceux contre qui nous sommes venus des Colonnes hèraclées, ceux qui de l'Italie ont fui devant nous, ceux qui, après dix ans de combats, quand nous avons terminé de si grandes guerres, remporté des victoires innombrables, donné à notre patrie quatre cents peuples, Ibères, Celtes, Bretons, nous licenciaient sans récompense, sans triomphe, sans gratifications...

LXXXII (0). Il mourut du côté de Pompée dix sénateurs, entre autres Lucius Domitius qui avait été en Galatie (Gaule) comme successeur de César...

CI. De retour à Rome il (César) triompha en quatre triomphes à la fois, premièrement des Galates (Gaulois), chez qui il avait soumis plusieurs peuples très grands et en avait abattu d'autres qui s'étaient révoltés Il eut aussi pour sa bataille navale sur le Nil une sorte de triomphe égyptien, entre celui des Galates (Gaulois) et celui de Pharnace....

CXI.. En partant pour 'la guerre de Libye, il avait donné des commandements militaires ; il avait confié la Celtique, celle d'au delà des Alpes, à Decimus (Brutus), et celle d'en deçà à (Marcus) Brutus.

CXXIV (0). Antonius et Lépidus qui avaient résolu de venger César... redoutaient... principalement Decimus (Brutus), choisi par César pour commander dans la Celtique limitrophe [de l'Italie], où se trouvait une, nombreuse armée.

CXXXIV (0). « Pensez-vous que ceux qui ont fait la guerre avec lui (César) se croient bien sûrs de la possession des terres qu'ils ont reçues chez les Celtes et chez les Bretons, quand celui qui les leur a données est ainsi outragé?... » - « Quelle haine n'allez-vous pas encourir de la part des dieux et des hommes par vos outrages envers celui qui a étendu les limites de votre empire jusqu'à l'Océan, jusqu'à des contrées in-connues?... »

CXXXVII. « .... (0). Quand Gaius César sortit de la Galatie (Gaule) pour marcher contre sa patrie, les armes à la main, comme un ennemi... »

CXL. «... (0). Le peuple vous avait donnés à César pour marcher contre les Celtes et les Brettons, et après vous être conduits en braves, vous deviez obtenir des honneurs et les prix de la bravoure... Ni l'envie, ni le temps, ni l'oubli des hommes n'éteindra ce que vous avez fait chez les Celtes et les Bretons, et vous avez pour ces hauts faits les prix de la bravoure... »

CXLI (0). « Et ces gens-là vous ont distribué les terres de vos concitoyens, de ceux qui avaient fait de vous les soldats de César contre les Celtes, et qui, vous faisant cortège au départ, avaient formé mille et mille voeux pour vos victoires... »

CL..... Et lui (César), marchant contre les Bretons, avait traversé l'Océan occidental, trajet que nul encore n'avait tenté, et il avait ordonné, à ses pilotes de s'échouer contre les écueils des Bretons et d'y briser leurs navires Maintes fois du milieu de ses soldats tous effrayés, il s'élança seul contre les ennemis ; il livra aux Celtes seuls trente batailles rangées avant d'avoir soumis leurs quatre cents peuples, peuples si redoutables aux Romains, que dans la loi sur l'exemption du service militaire accordée aux prêtres et aux vieillards, il était écrit : « Sauf le cas d'invasion celtique.» En pareil cas, vieillards et prêtres devaient le service militàire. Il n'eut point comme Alexandre une armée qui ne connut pas la défaite : les Celtes lui infligèrent une défaite éclatante lors du désastre dont elle fut frappée sous le commandement de Titurius et de Cotta.
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Messagede Fergus » Mar 02 Jan, 2007 16:07

GUERRES CIVILES. III.

II. (0). Ceux [des conjurés] qui avaient reçu de César des gouvernements s'en étaient allés dans ces gouvernements; Brutus Decimus, dans la Celtique, limitrophe de l'Italie.

XVI. « (0). Vous voyez, et vous voyez sans vous en soucier, Decimus tout près d'ici, dans la Celtique, et pourtant ce Decimus a été, tout comme les autres, l'assassin de mon père. »

XXVII. (0). Antonius songeait à transporter son armée de la Macédoine en Italie, et, faute d'autre prétexte, il demanda au Sénat de lui donner en échange de la Macédoine la Celtique d'en deçà les Alpes où commandait Decimus Brutus Albinus. Il savait que César était parti de cette Celtique pour vaincre Pompée; et puis, il paraîtrait ainsi appeler son armée, non dans l'Italie, mais dans la Celtique. Le Sénat, qui regardait cette Celtique comme sa citadelle, fut mécontent, et commençant alors d'apercevoir les embûches [d'Antonius], il regretta de lui avoir donné la Macédoine. Ceux de ses membres qui avaient le plus d'autorité mandèrent même de leur chef à Decimus de tenir ferme dans son gouvernement, de ramasser d'autres troupes et de l'argent en cas d'attaque de la part d'Antonius : tant ils redoutaient Antonius ! tant ils étaient en colère contre lui ! Mais lui, à défaut du Sénat, il songeait à demander au peuple une loi qui lui donnât la Celtique, de la même façon que César l'avait précédemment obtenue.

XXX (0). La loi relative à la Celtique fut publiée aussitôt (après la réconciliation d'Antonius et d'Octavius), au grand effroi du Sénat... Il y avait même [des sénateurs] qui étaient d'avis d'affranchir ce peuple de tout gouvernement de province : ont on redoutait ce voisinage de la Celtique ! Antonius récriminait à son tour contre eux : - Confiait-on cette province à Decimus. parce qu'il avait tué César, et se défiait-on de lui, [Antonius], parce qu'il n'avait pas tué celui qui l'avait subjuguée, qui lui avait fait plier le genou ?... La plèbe, bien qu'irritée contre Antonius, le servit néanmoins à cause de César (Octavius) qui se tenait près des cordes de l'enceinte, et sollicitait en sa faveur : il sollicitait surtout pour que Decimus ne commandât pas avec une armée dans une contrée si avantageusement placée, lui qui avait été un des meurtriers de son père...

XXXVII... (0) . « Ces mesures prises, il me restait encore sur les flancs un autre des meurtriers de César, Brutus Decimus, et il avait le commandement d'un pays bien placé, et d'une armée nombreuse. Sachant qu'il était plus hardi [que les autres], je lui enlevai la Celtique... »

XXXVIII (0). « Vous voyez quel regret on a d'avoir porté ces décrets, et quel mal on se donne pour m'enlever la Celtique qui déjà m'a été attribuée. Vous savez ce qu'on écrit à Decimus et tout ce qu'on dit aux consuls [qui viennent] après moi, pour leur persuader de rappeler le décret relatif à la Celtique... »

XLIII ... (0). Il emmènerait son armée dans le pays qu'un décret lui avait donné, dans cette heureuse Celtique, et chacun des soldats présents recevrait cent drachmes. - Et les soldats riaient de cette lésinerie...

XLV..... (0). Dès lors la guerre était certaine, Decimus ne voulant pas lâcher la Celtique...

XLVI (0). C'est en ce brillant équipage qu'il (Antonius) marcha vers Ariminum où commence la Celtique. Lépidus qui avait en Ibérie quatre légions, Asinius Pollion et Plancus qui en avaient, le premier deux, et le second trois dans l'autre Celtique, paraissaient devoir prendre parti pour Antonius...

XLIX (0). Dans la Celtique, Antonius avait enjoint à Decimus de passer en Macédoine pour obéir au peuple et se ménager lui-même...

L. ... (0). Cicéron et les amis de Cicéron étaient d'avis de le déclarer dès lors ennemi public, pour s'être emparé, malgré le Sénat et par la force des armes, de la Celtique, afin de s'en faire un rempart contre sa patrie, et pour avoir amené en Italie l'armée qui lui avait été donnée pour agir contre les Thraces...

IL. ... (0). Il (le Sénat) n'ignorait pas que le peuple lui avait donné la Celtique ... ; il vota cependant des éloges à Decimus pour n'avoir pas laissé la Celtique à Antonius...

LII ... (0). « Antonius, après avoir obtenu de nous le commandement en Macédoine, s'est jeté sur la Celtique, sans notre aveu, et l'armée qu'il avait reçue [pour agir] contre les Thraces, au lieu de la mener contre les Thraces, il l'a menée contre nous en Italie... Mais César le jeune l'ayant devancé avec une autre armée, il eut peur, et se tourna vers la Celtique, comme vers un poste commode pour se jeter sur nous, parce que César, partant de là, s'était jeté sur nous et s'était fait notre maître. »

LV. ... (0). « À la vérité, ce n'est point nous qui avons par un décret attribué à Antonius le gouvernement de la Celtique. C'est le peuple qui le lui a donné par une loi, en présence de Cicéron, et de la même façon qu'il en a donné à bien d'autres, notamment celui-là même à César autrefois. Or, dans une partie de cette loi il est dit que si, Antonius passant dans la province à lui assignée, Decimus ne lui cède pas la place, il devra faire la guerre [à Decimus] et, si les Thraces ne bougent point encore, mener son armée dans la Celtique, contre son adversaire.... »

LIX. ... (0) .« Comment cela pourra-t-il se faire ? si mettant en avant le peuple, ou pour lui faire plaisir, nous laissons Antonius garder la Celtique, et si Décimus, nous l'appelons ici avec ses trois légions, pour l'envoyer, dès son arrivée, en Macédoine, etc.... »

LX. ...(0). « Ménageons le peuple qui naguère a couru sus aux meurtriers de César ; n'ayons pas l'air d'avoir voulu lui faire injure en donnant à notre gré les provinces, en louant Decimus de méconnaître une loi du peuple, et en déclarant ennemi public Antonius pour avoir reçu du peuple la Celtique... »

LX1. ... (0). Son opinion ne prévalut pas sur le point ; de faire donner à Antonius le gouvernement de la Celtique... Un. décret porta qu'on signifierait à Antonius qu'il avait la Macédoine au lieu de la Celtique. Pour les autres injonctions [à lui faire, les Sénateurs], soit à leur insu, soit à dessein, laissèrent à Cicéron le soin de les rédiger et, de les remettre aux députés [qu'on lui enverrait]. Cicéron, outrepassant leur pensée, les rédigea en ces termes : «Antonius s'éloignerait sur-le-champ de Mutine laisserait la Celtique à Decimus. Arrivé à un jour dit au Rubicon, limite de l'Italie et de la Celtique, il resterait en deçà de ce fleuve et s'en remettrait au Sénat de tout ce qui le regardait ... »

LXII Antonius s'emportait contre le Sénat, contre Cicéron : il s'étonnait que Cicéron s'attachât à celui qui tenait la Celtique sans l'avoir reçue de personne après César, et fit la guerre à celui qui l'avait reçue du peuple... « Il nous regarde comme des ennemis publics, Dolobella et moi, qui nous en tenons à ce qui nous a été donné, car c'est là la vraie cause. Que je sorte de la Celtique, et je ne suis plus ni un ennemi public ni un monarque. »

LXIII (0). Après avoir dit beaucoup de choses dans ce sens, il répondit par écrit au sénatus-consulte :.... « Le peuple m'a donné la Celtique par une loi ; Decimus désobéit à cette loi, eh bien ! j'irai le chercher, moi; et à lui seul pour tous je demanderai compte, du meurtre [de César]...

LXIV.... (0). César [le jeune] ayant appris tout de point en point avait été embarrassé... Il pensait qu'en assurant la Celtique à Decimus, [le Sénat] marquait son ressentiment contre Antonius au sujet de la tyrannie ...

LXX.... (0). Ainsi Antonius, après un beau combat, vit sa force détruite par l'arrivée d'Hirtius. Il bivouaqua dans une bourgade, en rase campagne, sans retranchements ; le Marché des Celtes, tel est le nom de cette bourgade...

LXXIII. .... (0). Instruit de ces choses, Decimus se mit debout devant le fleuve, et appelant César par son nom, il lut à haute voix le décret du Sénat qui lui donnait le gouvernement de la Celtique, et il défendit à César d'entrer, en passant le fleuve sans les consuls, dans un gouvernement appartenant à un autre, et de marcher contre Antonius s'il fallait le poursuivre, il suffirait à cette tâche...

LXXIV. ... (0). Il (Cicéron) fit décréter cinquante jours de sacrifices avec supplications à l'occasion de la défaite d'Antonius, et jamais ni au temps des Celtes, ni dans aucune autre guerre, les Romains n'en avaient autant décrété...

LXXXIII. (0). Comme il avait été pour diverses causes sursis légalement aux élections, Antonius, dans l'intervalle, passa les Alpes après avoir gagné Culléon, préposé par Lépidus à la garde de ces montagnes : il arriva vers le fleuve à l'endroit ou Lépidus était campé, et là, comme campé près d'un ami, il ne s'entoura ni de retranchements ni de fossés... Bientôt même, pour faciliter leurs communications, [les soldats de l'une et de l'autre armée] jetèrent un pont de bateaux sur le fleuve...

LXXXVIII... (0). Ayant traversé le Rubicon pour passer de la Celtique en Italie (147), comme une première fois l'avait passé son père pour faire la guerre civile, il divisa toutes ses forces en deux corps...

XCVII..... (148) Renonçant à combattre; il (D. Brutus) résolut de s'enfuir vers Brutus en Macédoine. Or, il s'enfuit non pas de ce côté-ci des Alpes, mais vers Ravenne ou Àkylèia. Puis, comme César faisait route aussi par là, il songea à prendre une autre. route, plus longue, difficile, à passer le Rhin et à traverser les contrées plus sauvages des barbares. Aussi [épuisés] de besoin et de fatigue, ses jeunes soldats furent-ils les premiers à l'abandonner : ils passèrent à César. Après eux, même ses quatre vieilles légions se donnèrent à Antonius, et le reste de ses bandes, à l'exception des cavaliers celtes, ses gardes du corps. Mais il permit à ceux de ces derniers qui le voudraient de se retirer dans leurs foyers, et leur ayant distribué une partie de l'or qu'il avait encore, il se porta vers le Rhin avec les trois cents qui lui restaient. Mais, comme le passage du fleuve même avec peu de monde était difficile, ceux-là encore, sauf dix seulement, l'abandonnèrent. Il changea alors ses habits pour des habits celtiques, et comme il savait aussi la langue du pays, il s'en allait avec eux, passant pour un Celte, sans plus faire de détour par le chemin le plus long : il se dirigeait vers Akylèia et espérait, grâce à sa suite peu nombreuse, ne pas être reconnu.

XCVIII. Mais il fut pris par des brigands, et garrotté par eux; il leur demanda quel était le dynaste du peuple celte chez, qui il se trouvait. Ayant appris que c'était Camillus, comme il avait fait beaucoup de bien à ce Camillus, il donna ordre dé le mener à ce chef. Quand ce dernier vit l'homme qu'on lui amenait, il l'accueillit avec amitié en apparence, et adressa même des reproches à ceux qui l'avaient garrotté et qui, par ignorance, avaient ainsi outragé un si grand personnage. Mais par un message secret il avertit Antonius, lequel, ému d'un tel revers, n'eut pas le courage de le voir; et ordonna à Camillus de le tuer et de lui envoyer sa tête. Quand il eut vu cette tête, il ordonna de l'ensevelir. Telle fut la fin de Decimus qui avait été le chef de la cavalerie de César, avait commandé sous lui dans la vieille Celtique et avait été choisi par lui pour être consul l'année suivante et commander dans le reste de la Celtique....
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Messagede Fergus » Mar 02 Jan, 2007 16:08

GUERRES CIVILES. IV.

I (0). C'est ainsi que deux des meurtriers de Caïus César avaient payé la peine de leur crime par leur défaite au milieu de leurs commandements militaires, Trébonius en Asie,. et Decmus [Brutus] dans la Celtique...

II... Les triumvirs ... décidèrent ceci... Ils se partageraient les gouvernements des peuples (les provinces) ; Antonius aurait toute la Celtique, sauf la partie qui touche aux monts Pyrénées et qu'on appelait la vieille Celtique ; Lépidus y commanderait ainsi que dans l'Ibèrie à côté...

VIII. «... (0). Ce Gaïus (César)... qui avait abattu les peuples les plus redoutables aux Romains et les avait conquis ; qui le premier avait passé les colonnes Héraclées, bornes d'une mer où l'on n'avait jamais navigué , et qui avait découvert une terre inconnue aux Romains... ils l'ont assassiné... »

IX. «... (0). De très grandes choses ont été accomplies, par nous, ou bien nous y avons encore la main, en Ibérie, en Celtique et chez nous...»

XXXIII. « ... (0). Vienne donc une guerre soit avec les Celtes soit avec les Parthes, et pour vous sauver, nous ne serons pas moins braves que nos mères...

XXVIII... Il (Messala) avait commandé un navire contre Antonins à Actium : [César] l'envoya comme général chez les Celtes révoltés et, après sa victoire, lui accorda le triomphe...

LVIII. Dolobella avait tué Trébonius en Asie, et Antonius assiégeait Decimus chez les Celtes. Le Sénat indigné déclara ennemis publics Dolobella et Antonius.

LXXXIV... (0). Le Sénat rappelait Pompée [Sextus] ; mais lui, arrivé à Marseille, observait encore ce qui se passait à Rome.

LXXXVIII.. Ils avaient en cavalerie, Brutus, Celtes et Lusitains, quatre mille, et Cassius, Ibères et Celtes, deux mille... Puis suivaient comme auxiliaires des rois et des tétrarques des Galates d'Asie, conduisant une nombreuse infanterie et plus de cinq mille cavaliers.

XCV. « .... On dit qu'autrefois. notre ville fut prise par les plus sauvages des barbares ; mais les Celtes ne coupèrent la tête à personne ; ils n'outragèrent point les morts ; ils ne disputèrent point à ceux qui leur faisaient la guerre le droit de se cacher ou de fuir... »
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Messagede Fergus » Mar 02 Jan, 2007 16:10

GUERRES CIVILES. V

III. ... On crut devoir - c'était l'avis de César - rendre à la Celtique deçà les Alpes son autonomie,selon l'intention de César l'ancien...

VII.. En parcourant la Phrygie, la Mysie et le pays des Galates d'Asie... il (Antonius) imposa à toutes ces contrées de lourds tributs.

XX... (0). Les officiers supérieurs de l'armée les réconcilièrent à ces conditions : ... Les Alpes seraient ouvertes aux troupes envoyées par César en Ibérie, et Asinius Pollion ne s'opposerait pas à leur passage.... Salvidienus, malgré eux, tourna les Alpes.

XXII... (0). Manius, avec une grande audace, dit... que la Celtique, qui auparavant avait été donnée à Antonius, était affranchie pour l'en frustrer.

XXXI... (0). Leucius alla au-devant de Salvidienus qu,; pour se joindre à César, revenait de chez les Celtes avec une armée nombreuse...

XXXIII... (0). Fulvie excitait Ventidius, Asinius, Ateius et Calenus à venir de la Celtique au secours de Leucius.

LI. Antonius avait autour des Alpes une autre nombreuse armée que commandait Fufius Calenus : César prit sa visée de ce côté... ; justement Calènus vint à mourir, ce lui fut un prétexte ; il vint, il s'empara de l'armée et, avec elle, de la Celtique et de l'Ibérie, provinces qui étaient sous la dépendance d'Antonius. Fufius, fils de Calènus, qui le craignait, lui livra touts ans combat...

LIII (0). César, revenant à Rome de chez les Celtes, eut vent de leur voyage à Athènes...

LXVI... (0). Antonius révéla à César que Salvidienus, qui commandait pour César l'armée du Rhône, avait pensé à faire défection pour son propre compte, et lui avait envoyé un message à ce sujet pendant le siège de Brentésium (Brindes) César aussitôt fait venir en toute hâte Salvidienus, comme s'il avait besoin de lui et de lui seul, et devait le renvoyer tout de suite â son armée. Salvidienus arrivé, il le convainquit [de trahison] et le fit mourir.

LXXV Sur ces entrefaites, César courut dans la Celtique où il y avait des troubles ...

LXXVIII (0). Les vaisseaux longs qu'il tira de Ravenne, son armée de la Celtique et tout un attirail de guerre, il envoya vite tout cela à Brentésium (Brindes) et à Dicéarchie (Pouzzoles)...

XCII.. (0). Tandis qu'il était ainsi découragé, on lui annonça une éclatante victoire sur les Celtes Aquitains, qu'Agrippa avait remportée...

CXVII... (0). Une pluie abondante étant survenue, - une de ces pluies comme il y en a en automne; - quelques-uns de ses hoplophores (satellites) tinrent toute la nuit un bouclier celtique au-dessus de sa tête. - Il sortit de l'Etna des bruits violents, de longs mugissements et des éclairs dont les lueurs entouraient l'armée, à tel point que les Germains de frayeur s'élançaient hors de leurs lits...
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