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Forum consacré à l'étude de la civilisation celtique

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Modérateurs: Pierre, Guillaume, Patrice

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6 messages • Page 1 sur 1

salutation

Messagede farfadel » Mer 28 Déc, 2005 0:34

tout d'abord bonjour à tous!je suis tombé par hasard sur ce site et ce forum par la même...et je pense y faire une petite escale!!!par contre j'ai de modeste connaissance en matière de civilisation celte et tout ce qui va avec alors soyez indulgents :roll: cela fait quelques années que je m'y intéresses mais je n'ai peut etre pas autant développé que vous....sinon je me présente je m'appelle caroline j'ai 20 ans je suis lycéenne j'apprends les métiers du bois(diplome d'ébèniste et de tapissier,prépare celui de tourneur sur bois)en dessin d'art je dois préparer un travail sur un décor j'ai choisi le décor celte dans sa globalité alors je fouine!
merci a vous :wink:
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Messagede Pierre » Mer 28 Déc, 2005 0:47

Bienvenue Farfadel,

Le bois voilà un sujet intéressant. Les Celtes ont effectivement utilisé bien plus le bois que le fer. Inconvénient cette matière étant putrescible, il reste bien peu de vestiges. Par contre bon nombre des outils encore utilisés dans les métiers du bois, ont un nom d'origine celtique (Gouge, etc....)


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Messagede Professeur Cornelius » Mer 28 Déc, 2005 19:55

Bienvenue à toi Farfadel !

En cadeau de bienvenue, voici quelques extraits du Dictionnaire des Symboles, relatifs au bois dans la civilisation celtique :

ARBRE
L'arbre met en communication les trois niveaux du cosmos : le souterrain, par ses racines fouillant les profondeurs où elles s'enfoncent ; la surface de la terre, par son tronc et ses premières branches ; les hauteurs, par ses branches supérieures et sa cime, attirées par la lumière du ciel. Des reptiles rampent entre ses racines, des oiseaux volent dans sa ramure : il met en relation le monde chthonien et le monde ouranien. Il réunit tous les éléments : l'eau circule avec sa sève, la terre s'intègre à son corps par ses racines, le feu jaillit de son frottement.
Parce que ses racines plongent dans le sol et que ses branches s'élèvent dans le ciel, l'arbre est universellement considéré comme un symbole des rapports qui s'établissent entre le ciel et la terre. Il possède en ce sens un caractère central, à tel point que l'Arbre du Monde est un synonyme de l'Axe du Monde.
L'arbre cosmique est souvent représenté sous la forme d'une essence particulièrement majestueuse. Tels apparaissent, dans les croyances de ces peuples, le chêne celtique, le frêne scandinave, le tilleul germanique, l'olivier de l'orient islamique, le mélèze et le bouleau sibériens, tous arbres remarquables par leurs dimensions, leur longévité ou, comme dans le cas du bouleau, leur blancheur lumineuse.

BOIS
Sous toutes ses formes et sous tous ses aspects, le bois ou l'arbre participe à la science ; l'écriture traditionnelle irlandaise, les ogam, est le plus souvent gravée sur bois ; elle n'est gravée sur pierre que dans des intentions funéraires. Il existe une homonymie complète du nom de la science et du nom du bois dans toutes les langues celtiques (vidu - : irl. fid ; gall. gwydd ; bret. gwez "arbre" et gouez, radical de gouzout "savoir"). A la différence de ceux de Gaule, les druides d'Irlande utilisent peu le chêne, mais très fréquemment l'if ou le coudrier, le noisetier ou le sorbier (les textes font rarement la différence entre ces trois espèces). La noisette est fruit de sagesse et de savoir. Le bouleau et le pommier jouent aussi un rôle important dans le symbolisme de l'Autre Monde. Ce sont des baguettes de coudriers qui servent ordinairement à la magie. Mais c'est en gravant des ogam sur des baguettes d'if que le druide Dallan ("petit aveugle") retrouve Etain, femme du roi Eochaid, dans le sid où elle était tenue cachée par le dieu Midir, son premier époux. Dans le sens maléfique, le bois joue encore un rôle considérable. Pour venir à bout de Cuchulainn qui résiste à leur magie, les enfants de Calatin incantent des plantes et des arbres, qui se transforment en guerriers capables de combattre. Le même thème légendaire, qui existait en Gaule cisalpine, a été transformé en histoire par Tite-Live dans ses Annales, à propos de la mort du consul Postumius en 218 av. J.-C. On retrouve encore le thème, mais inverse (le combat des arbres est pris en bonne part) dans le curieux poème gallois du Kat Godeu ou combat des arbrisseaux, attribué à Taliesin. Les noms d'arbres sont fréquents aussi en Gaule dans les anthroponymes ou les noms ethniques : Eburovices, Viducasses, Lemovices, etc..
Mais le symbolisme général du bois reste constant : il recèle une sagesse et une science surhumaines.
Chez les Anciens, Grecs et Latins, comme chez d'autres peuples, des bois (non plus le bois) étaient consacrés à des divinités : ils symbolisaient la demeure mystérieuse du Dieu. Chaque dieu a son bois sacré : s'il y inspire une crainte révérencielle, il y reçoit aussi les hommages et les prières. Les Romains ne pouvaient ni couper, ni émonder les arbres des bois sacrés sans sacrifice expiatoire. La forêt, ou le bois sacré, est un centre de vie, une réserve de fraîcheur, d'eau et de chaleur associées, comme une sorte de matrice. Aussi est-elle encore un symbole maternel. Elle est la source d'une régénérescence.

BOULEAU
On n'a aucune indication nette sur le symbolisme du bouleau, mais il est probablement funéraire. Le texte gallois du Combat des Arbrisseaux (Kat Godeu) contient un vers assez énigmatique après une description de combat, ou plutôt de massacre : le sommet du bouleau nous a couvert de feuilles ; il transforme et change notre dépérissement ; ce qui est peut-être une allusion à l'usage de couvrir les dépouilles mortelles de branchages de bouleau. Mais ce qui signifie également qu'il et l'artisan des transformations qui préparent le défunt à une vie nouvelle.
Pline croyait que le bouleau était originaire de la Gaule : le bouleau, dit-il, fournit aux magistrats des faisceaux redoutés de tous, et aux vanniers les cercles et les côtes nécessaires à la fabrication des paniers et des corbeilles. Il ajoute qu'on l'a employé également à la confection des torches nuptiales, regardées comme porte-bonheur le jour des noces (Histoire Naturelle 16, 30). Dans chaque cas, il est étroitement lié à la vie humaine, comme un symbole tutélaire à la vie comme à la mort.

BRANCHE
Le mot qui désigne la branche est, en irlandais, craeb, croeb, le même qui sert à désigner la baguette magique. Dans plusieurs textes, cette branche qui a des qualités magiques puissantes (elle fait, entre autres, oublier la tristesse, parce qu'il émane d'elle une musique mystérieuse) est une branche de pommier. Or le fruit de cet arbre confère l'immortalité . la branche est le symbole et l'instrument d'une musique cosmique, l'interprète de la musique des sphères.

BUISSON
Le symbolisme du buisson ne diffère pas de celui de l'arbre et cela est notable encore dans le titre du texte moyen-gallois Kat Godeu (Le Combat des Arbrisseaux). Le mot godeu signifie à la fois arbrisseau et pensée, ce qui confirme l'équivalence symbolique du bois, du buisson et de la science.

CHENE
Arbre sacré dans de nombreuses traditions, le chêne est investi des privilèges de la divinité suprême du ciel, sans doute parce qu'il attire la foudre et qu'il symbolise la majesté : chêne de Zeus à Dodone, de Jupiter Capitolin à Rome, de Ramowe en Prusse, de Perun chez les Slaves. La massue d'Hercule est de chêne. Il indique particulièrement solidité, puissance, longévité, hauteur, au sens spirituel autant que matériel.
Le chêne est, en tout temps et en tout lieu, synonyme de force : c'est, de toute évidence, l'impression que donne l'arbre à l'âge adulte. D'ailleurs, chêne et force s'expriment en latin par le même mot : robur, qui symbolise aussi bien la force morale que la force physique. Le chêne est la figure par excellence de l'arbre ou de l'axe du monde, tant chez les Celtes qu'en Grèce, à Dodone.
D'après un passage de Pline l'Ancien, qui s'appuie sur l'analogie du grec (drûs), le nom des druides est en relation étymologique avec le nom du chêne : d'où la traduction hommes de chêne, qui a souvent réussi à s'introduire jusque dans l'érudition moderne. Mais le nom du chêne est différent dans toutes les langues celtiques, y compris le gaulois (dervo). Le rapprochement est symboliquement valable cependant, en ce sens que les druides, étant donné leur qualité sacerdotale, ont droit à la fois à la sagesse et à la force. Le chêne symbolise en effet ces deux valeurs . Adoré par les Celtes, il était aussi pour eux, par son tronc, par ses larges branches, par son feuillage touffu et par son propre symbolisme, l'emblème de son hospitalité et l'équivalent d'un temple.

COUDRIER
Cet arbre et son fruit, la noisette, ont joué un rôle important dans la symbolique des peuples germaniques et nordiques. Il semble que cet arbre de la fertilité soit souvent devenu l'arbre de la débauche. Ainsi, à la lumière des pratiques du Moyen Age, s'explique le choix de la baguette de coudrier par les sourciers et chercheurs d'or : les métaux mûris dans le ventre de la Terre-Mère, de même que l'eau de source, expriment son inépuisable fertilité que provoque, par homéopathie, la baguette de ce bois. En Normandie, on frappait trois fois la vache d'une baguette de coudrier pour qu'elle donne du lait ; dans les minutes d'un procès de sorcellerie daté de 1596, en Hesse, on peut lire : si dans la nuit de Walpurgis ladite sorcière avait battu la vache avec la baguette du diable, cette vache donnait du lait toute l'année. Ainsi le coudrier, arbre de fertilité, devient peu à peu l'arbre de l'incontinence, de la luxure, et enfin du diable. Le noisetier, dans les coutumes celtiques, sera souvent lié aux pratiques magiques (voir noisetier). La mythologie germanique en fait un attribut du dieu Thor.

FORET
Il y a une stricte équivalence sémantique, à l'époque ancienne, entre la forêt celtique et le sanctuaire, nemeton. L'arbre peut être considéré, en tant que symbole de vie, comme un lien, un intermédiaire entre la terre où il plonge ses racines et la voûte du ciel qu'il rejoint ou touche de sa cime. Les temples de pierre ne se construiront en Gaule que sous l'influence romaine, après la conquête .

GUI
Sauf en breton moderne, le gui porte, dans tout le domaine celtique, des noms caractéristiques de son symbolisme. Pline, dans le fameux passage où il en décrit la cueillette, dit que les gaulois le nomment d'un nom signifiant qui guérit tout. C'est exactement le sens de uileiceadh et de olliach et il faut y voir un symbole d'immortalité et de vigueur ou de régénération physique. Dans le mythe germanique de Balder, un roi faisait mourir par le gui, qui était sa personnification :ce trait pourrait symboliser le passage d'une forme de vie à une vie supérieure quasi-divine. En breton de Vannes, on relève, parmi les substituts divers du gui, l'appellation curieuse de deur derhue eau de chêne ; mais il n'est pas du tout certain qu'elle ait une valeur linguistique ou symbolique ancienne. Le gui de chêne est très rare et cela explique sans doute en partie l'usage que les druides gaulois en faisaient. Il est très rare de trouver ainsi le gui, et quand on le trouve, on le cueille dans une grande cérémonie religieuse, le sixième jour de la lune, car c'est par cet astre que les Gaulois règlent leurs mois et leurs années, de même que leurs siècles de trente ans. On choisit ce jour parce que la lune y a déjà une forme considérable, sans être cependant au milieu de sa course. Ils appellent le gui d'un nom qui signifie celui qui guérit tout. Après avoir préparé un sacrifice au pied de l'arbre, on amène deux taureaux blancs dont les cornes sont liées pour la première fois. Vêtu d'une robe blanche, le prêtre monte à l'arbre, coupe avec une faucille d'or le gui qui est recueilli dans un linge blanc. Ils immolent alors les victimes en priant la divinité de rendre ce sacrifice profitable à ceux pour qui il est offert. Ils croient que le gui, pris en boisson, donne la fécondité aux animaux stériles et constitue un remède contre tous les poisons (Pline, Histoire Naturelle, 16, 249). Le rituel décrit par Pline se rapporte très probablement à la fête de novembre qui marque le début de l'année celtique et cela correspond bien au symbolisme d'immortalité et de régénération du gui. Le choix du gui de chêne est sans doute en relation avec le symbolisme végétal du druide, mais il est peu probable que le gui symbolise aussi la sagesse. C'est l'arbre qui est lui-même symbole, à la fois de force et de sagesse (équivalence du bois et de la science). Mais la classe sacerdotale a aussi le pouvoir de guérir. On peut ajouter à cela que le gui est véhiculé par les oiseaux, ce qui renforce le symbolisme de l'immortalité .

IF
L'if est dans le monde celtique un arbre funéraire et l'Irlande l'utilise quelquefois comme support de l'écriture ogamique. Mais il est surtout dans la tradition insulaire le plus ancien des arbres. Le bois d'if est quelquefois encore utilisé pour sa dureté dans la fabrication de bouclier et de lances, ce qui dénote aussi un symbolisme militaire. Ibarsciath, bouclier d'if, est le nom d'une jeune guerrier irlandais et quelques noms ethniques gaulois (Eburovices combattants par l'if, aujourd'hui Evreux) confirment cette impression. Néanmoins la propriété essentielle qui semble avoir été retenue à la base du symbolisme de cet arbre est la toxicité de ses fruits. César cite l'exemple de deux rois gaulois des Eburons qui, vaincus, se donnent la mort avec de l'if. La roue du druide mythique Mog Ruith (serviteur de la roue), qui est une roue d'Apocalypse, est elle aussi en bois d'if. Eochaid (Ivocatus qui combat l'if) est enfin un des noms traditionnels du roi suprême d'Irlande .

NOISETIER
Dans tous les textes insulaires, le noisetier, le sorbier et le coudrier (coll), qui ne sont pas toujours bien distingués les uns des autres dans la lexicographie, sont considérés comme des arbres à caractère magique. A ce titre, ils sont fréquemment employés par les druides ou par les poètes comme supports d'incantation. L'emploi le plus notable est la gravure sur bois des ogam ou lettres magiques. Le noisetier voisine dans cet usage avec l'if et le bouleau, et la noisette est assez souvent un fruit de science. Un des rois mythiques de l'Irlande est dit MacGuill fils du coudrier.

NOYER
Quelques glossaires irlandais traduisent le nom d'Eithne, allégorie féminine de l'Irlande, par noix, assimilant l'anthroponyme au substantif eitne. L'étymologie est purement analogique, sans valeur linguistique, mais elle fait penser à une conception analogue à celle de l'œuf cosmique ; l'Irlande est en effet un macrocosme en réduction.

POMME
La pomme est un fruit de science, de magie et de révélation. Elle sert aussi de nourriture merveilleuse. La femme de l'Autre Monde qui vient chercher Condle, le fils du roi Conn aux Cent Batailles, lui remet une pomme qui suffit à sa nourriture pendant un mois et ne diminue jamais. Parmi les objets merveilleux dont la quête est imposée par le dieu Lug aux trois fils de Tuireann, en compensation du meurtre de son père Cian, figurent les trois pommes du jardin des Hespérides : quiconque les consomme n'a plus ni faim ni soif, ni douleur ni maladie et elles ne diminuent jamais. Dans quelques contes bretons, la consommation d'une pomme sert de prologue à une prophétie .
Si la pomme est un fruit merveilleux, le pommier (abellio, en celte) est lui aussi un arbre de l'Autre Monde. C'est une branche de pommier que la femme de l'Autre Monde, qui vient chercher Bran, lui remet avant de l'entraîner par-delà la mer. Emain Ablach en irlandais, Ynys Afallach en gallois (l'île d'Avalon), autrement dit la pommeraie, est le nom de ce séjour mythique, où reposent les rois et les héros défunts. Dans la tradition britonnique, c'est là que le roi Arthur s'est réfugié en attendant de revenir délivrer ses compatriotes gallois et bretons du joug étranger. Merlin, d'après les textes, enseigne sous un pommier .
Gervasius raconte comment Alexandre le Grand, en cherchant l'Eau de vie dans l'Inde, a trouvé des pommes qui prolongeaient jusqu'à 400 ans la vie des prêtres. Dans la mythologie scandinave, la pomme joue le rôle de fruit régénérateur et rajeunissant. Les dieux mangent des pommes et restent jeunes jusqu'au ragnarök, c'est-à-dire jusqu'à la fin du cycle cosmique actuel .
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Messagede farfadel » Jeu 29 Déc, 2005 14:17

un grand merci!!!!!!!!!!! :oops: c génial
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Messagede Anna » Dim 21 Jan, 2007 15:59

Bonjour Farfadel !!!
Je viens tout juste d'entendre parler de toi !!! :lol: :wink:
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Messagede Anna » Dim 21 Jan, 2007 16:00

Maître Cornélius, je vais prendre note :wink:
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