Lu dans Icauna n°6 (2001):
Les dernières recherches effectuées sous la direction de Pierre Pétrequin et d'Olivier Weller sur l'ensemble des sources salées répertoriées en Bourgogne et leur utilisation antérieur à l'époque romaine ont permis de remettre en cause la datation des cuvelages en chêne des puits de captage ainsi que le mode d'exploitation de ces fontaines situées au pied de la colline éternelle.
Des datations concordantes par dendrochronologie et par le carbone 14 ont permis de situer l'exploitation de ces sources entre 2309 et 2223 avant J.-C.
En gros, l'exploitation du sel ne date pas des Gaulois comme on le pensait, mais du néolithique.