![Confused :?](./images/smilies/icon_confused.gif)
J'ai tenté de contacter le site que tu mets en lien (JSTOR) il y a longtemps, sans résultat, or ils ont une somme incroyable. Pendant mes recherches sur le net, je tombais souvent sur eux, as-tu accès aux textes dans leur intégralité et si oui, comment tu t'y es pris?
Les Ashvin montaient des hémiones ailés. On disait de ces equus hemionus khur qu'ils étaient plus rapides que les chevaux, les ânes et les cerfs (Elien III, 52) : (...) poursuivre ces animaux, c'est, selon la formule poétique, "courir après des choses insaississables".
On a aussi dans les Contes de Ramayana (cf Pournaprema, 1985), un combat entre Indra et Hanouman, puis entre Hanouman et Doumraksha (l'hémione khur). Ce dernier émettait des sons rauques comme le braiment de l'âne. En résumant, il finit écraser par une montagne.
Dans le Rigveda (Stchoupak N., Nitti L., Renou L., Dictionnaire sanskrit-Français, 2ème édition des Publications de l’Institut de Civilisation indienne, Paris, 1972, Librairie d’Amérique et d’Orient Adrien-Maisonneuve), on trouve les racines gardabha et râsabha pour désigner l'âne (encore une grossière erreur
![Confused :?](./images/smilies/icon_confused.gif)
![Wink :wink:](./images/smilies/icon_wink.gif)
Ces équidés
![Grazy
:49:]({SMILIES_PATH}/grazy.gif)