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Pléiades

Forum consacré à la linguistique ainsi qu'à la toponymie...

Modérateurs: Pierre, Guillaume, Patrice

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13 messages • Page 1 sur 1

Pléiades

Messagede Patrice » Lun 25 Fév, 2008 12:55

Salut à tous,

A-t-on une idée du nom celtique des Pléiades? Existe-t-il une forme qui ne soit pas dérivé du nom grec?

Merci d'avance,

A+

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Messagede Muskull » Lun 25 Fév, 2008 13:21

Bonjour,
Il semble y avoir plusieurs noms anciens :
Elles sont aussi appelées les "sept sœurs" et, selon la mythologie grecque, les sept filles et leurs parents. Leur nom japonais est "Subaru", qui a été retenu pour baptiser la voiture du même nom. En Perse leur nom est "Soraya", donné à l'avant dernière impératrice iranienne. Les anciens noms européens (par exemple anglais et allemands) montrent qu'elles furent alors comparées à "la poule et ses poussins". D'autres cultures peuvent encore apporter de nombreuses croyances et légendes concernant cet amas bien visible à l'œil nu. Les astronomes grecs Eudoxus de Knidos (c. 403-350 avant JC) et Aratos de Phainomena (c. 270 avant JC) les considéraient comme une constellation à part entière : "La Grappe de raisin". Cette référence est également citée par l'Amiral Smyth dans son Bedford Catalog.

http://messier.obspm.fr/f/m045.html
"Les Pléiades"... Quel rôle primordial cette "grappe juteuse" a joué dans les temps reculés ! On n'en a plus idée aujourd'hui. Lors des premiers temps du "monde", du monde humain j'entends, historique bien sûr, l'année commençait avec le lever matinal des Pléiades au printemps, l'automne avec leur lever vespéral. En Egypte, en Chaldée, chez les Hébreux... le mois de novembre portait leur nom : "Athor" en égyptien, du nom de la déesse. De grandes festivités honoraient leur apparition : on célébrait ce signe prometteur, non seulement au Moyen Orient, mais aussi en Australie, au Pérou, au Mexique... En Polynésie, l'année connaissait la même division : la première moitié s'appelait "les Pléiades dessus", l'autre moitié "les Pléiades dessous". Pas compliqué le calendrier ! Les Latins, qui s'intéressaient surtout à leur lever matinal, les appelaient "Vergiliae" : "les astres du printemps". Les grecs les scrutaient avec attention pour leurs travaux des champs... etc... On ne saurait dire combien cet amas d'étoiles eut de succès !

"Les Pléiades", mais que signifie ce mot aux voyelles aériennes ? On s'est beaucoup interrogé sur son origine. Vient-il du verbe grec "Pleïn" : naviguer, du fait que les navigateurs attendaient leur lever printanier pour prendre la route ? On l'a dit. Il semble plus probable qu'il dérive tout simplement du mot "pléias" : la pluralité, les "Plurielles", pourrait-on dire. Car il y a du monde, du beau monde dans cet amas, jusqu'à 500 étoiles pense-t-on aujourd'hui... On dit aussi qu'il dérive leur nom de celui de leur mère : "Pléione". Telle mère, telles filles ! Pas mal... Nos paysans l'appellent familièrement "La Poussinière", aujourd'hui encore ! Beaucoup de poussins pour une seule poule !... Appellation ancienne, puisque les Arabes parlaient déjà de "La poule avec ses petits".

http://www.astrosurf.com/mesetoiles/taureau.htm

En breton c'est la poule, 'ar yar'. Un alignement mégalithique à Camaret (finistère) se nomme Lagad-yar, l'oeil de la poule. Il y a peut-être un rapport. :?
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Messagede Patrice » Lun 25 Fév, 2008 14:44

Salut,

Le terme breton sur tu cites ne m'étonne pas. On trouve un peu partout l'idée de poussinière, de nid ou de poule et ses poussins.

Par contre ça:

En Perse leur nom est "Soraya", donné à l'avant dernière impératrice iranienne.


C'est faux. C'est peut-être le nom d'une des étoiles. Dans mes petites notes, j'ai l'avestique paoiriinaeini, qui a donné le persan parvin et le pachtoune perune.

A+

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Messagede Muskull » Lun 25 Fév, 2008 15:52

Exact, j'ai vérifié dans le dico.
Comme prénom féminin il y a également Mahparvin qui veut dire "Lune des pléiades".
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Messagede Alexandre » Lun 25 Fév, 2008 16:26

On remarquera la similitude entre l'avestique paoiriinaeini et le grec πλειαδες - les deux formes semblent dériver d'un même ensemble *pley- ou *plewy-
A creuser...
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Messagede Patrice » Lun 25 Fév, 2008 16:34

Salut,

C'est quelque chose qui est déjà mentionné par Chantraine et Frisk dans leurs dictionnaires étymologiques respectifs de la langue grecque.

Cela pose d'ailleurs un problème important car si les Pléiades procèdent du même mot que l'avestique, celui-ci a lui-même une étymologie incertaine.
Les anciens disaient que paoiriinaeini était tout simplement les "Premières". Les modernes (Jakobson, Ivanov, etc.) les font dériver de la même racine que tout l'ensemble Perkunas / Perun / Parjanya / Fjörgyn etc...

Tout mon intérêt pour ces étoiles.
On remarquera d'ailleurs que le mot Peleiades (autre forme grecque du nom) s'applique aussi aux prêtresses de Zeus à Dodone.

A+

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Messagede Muskull » Lun 25 Fév, 2008 18:19

En sanskrit on retrouve la racine PRV mais de manière indirecte:

kārttikeya [kārttika-iya] m. myth. np. de Kārttikeya «Élevé par les Pléiades», épith. de Skanda, dieu de la guerre, fils de Śiva; sa monture [vāhana] est le paon Paravāṇi.

kṛtti [kṛt_1-ti] f. action de couper, de fendre, de trancher | écorce; écorce de bouleau | peau; peau de bête; peau d'antilope || lat. cortex.

 kṛttika [kṛtti-ka] a. m. n. f. kṛttikā coupant — f. kṛttikā pl. myth. np. des Kṛttikās «les Coupantes» ou groupe des 6 Pléiades; elles furent les nourrices de Kārttikeya | astr. premier astérisme lunaire [nakṣatra] les symbolisant cosmiquement, corr. aux 6 étoiles des Pléiades, et dont le symbole est un couteau; Agni y préside.

Les tranchantes ? Celles qui fendent l'année en deux ?
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Messagede Alexandre » Lun 25 Fév, 2008 18:53

Patrice a écrit:Les anciens disaient que paoiriinaeini était tout simplement les "Premières".

Cela suppose un lien avec le groupe de la particule *pro, abondamment illustré en grec, mais qui ne peut en aucun cas donner une forme en pl-

Patrice a écrit:Les modernes (Jakobson, Ivanov, etc.) les font dériver de la même racine que tout l'ensemble Perkunas / Perun / Parjanya / Fjörgyn etc...

Même remarque : la racine *perkw-, quel que soit le détail qu'on en donne, ne peut pas donner une forme en pl- en grec.
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Messagede Matrix » Lun 25 Fév, 2008 21:24

Bj Alexandre
Il me semble également que dans un précédent topic l'IE Perk- donnait le celtique Erk- cf Hercynia Sylva
mais on s'éloigne des pléiades
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Messagede Patrice » Mar 26 Fév, 2008 9:43

Alexandre a écrit:
Patrice a écrit:Les anciens disaient que paoiriinaeini était tout simplement les "Premières".

Cela suppose un lien avec le groupe de la particule *pro, abondamment illustré en grec, mais qui ne peut en aucun cas donner une forme en pl-

Patrice a écrit:Les modernes (Jakobson, Ivanov, etc.) les font dériver de la même racine que tout l'ensemble Perkunas / Perun / Parjanya / Fjörgyn etc...

Même remarque : la racine *perkw-, quel que soit le détail qu'on en donne, ne peut pas donner une forme en pl- en grec.


Salut,

Quand je disais "les Anciens", cela voulait dire "dans l'Antiquité". Ca n'avait pas de valeur scientifique.

Sinon, le problème avec la racine *perkw- est qu'elle est régulièrement tabouée, et que le -kw- disparaît souvent. Ainsi on a un dieu de la guerre kafir qui s'appelle Perun.
L'hypothèse des modernes n'est donc pas impossible.

A+

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Messagede Alexandre » Mar 26 Fév, 2008 12:23

Patrice a écrit:Quand je disais "les Anciens", cela voulait dire "dans l'Antiquité". Ca n'avait pas de valeur scientifique.

"Les Anciens", ça veut dire les grammairiens de l'Antiquité : ils avaient une connaissance impressionnante de la langue grecque, et leurs analyses sont souvent d'une incroyable justesse, même si elles ignorent tout formalisme.
Dans le cas de la particule *pro = devant, ils ont tous soutenu que πρεσβυς = vieillard / part d'honneur réservée aux anciens, était lié à cette particule. Les modernes se sont arraché les cheveux pendant près d'un siècle avant de le vérifier.

C'est pourquoi on ne doit jamais repousser d'un simple revers de main une étymologie exposée par les Anciens.
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Messagede Patrice » Mar 26 Fév, 2008 12:27

Salut,

Sauf qu'ici je parle d'une interprétation issue (si mes souvenirs sont bons) d'un texte pehlevi, donc assez tardif.

A+

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Messagede ejds » Jeu 28 Fév, 2008 12:20

A noter que les sept Pléiades ou Plëiades (en latin pleiadis, singulier pleias, plias), annoncent le début et la fin des moissons ou pour les marins le début et la fin des sorties en mer, sont situées dans la constellation du Taurus (sur le cou ou l'épaule).

Patrice a écrit:On remarquera d'ailleurs que le mot Peleiades (autre forme grecque du nom) s'applique aussi aux prêtresses de Zeus à Dodone.

Les Pléiades peuvent être confondues selon les textes avec les "Hyades", ou amas d’étoiles, situées elles sur la tête du Taureau. Aussi appelées, les pluviœ, les pluvieuses, pleureuses ou les tristes, parce qu’on croyait lorsqu’elles approchaient de l’horizon, à leur lever et à leur coucher, elles produisaient des pluies. Leur apparition et disparition, en mai et novembre, coïncident habituellement avec des phases de pluie et de mauvais temps. Leur nombre et leurs noms varient selon les textes, mais peuvent être aussi de sept.

Les uns disent que les nymphes de Nysa — la plus jolie de toutes les vallées terrestres, mais qu'aucun homme n’a jamais vu et ne sait où elle se trouve —, étaient les Hyades, demi-sœurs des Pléiades. Elles furent les nounous de Zeus à Dodone, qui les plaça dans le ciel sous la protection du Taureau comme pour les consoler de la mort de leur frère Hyas, et les défendre de la colère de son épouse Héra (la Junon romaine).

Plus près de nous est le disque de Nebra. Mais quand aux Pléiades celtes, c'est à croire que soit les astronomes étaient bougrement peu intéressés ou soit carrément miros. Plus probablement, en leur latitude, le ciel toujours nuageux ou brumeux était peu clément et ne se prêtait pas vraiment à une étude détaillée du ciel. Ou bien alors ils n’avaient qu’une seule peur : qu’à force de les admirer, les étoiles, plutôt que le ciel, ne leur tombassent sur la tête. :roll:

J. Chevalier et A. Gheerbrant a écrit: PLÉIADES

1. Petite constellation composée de sept étoiles dont la principale est Alcyone (3e grandeur) dont le nom signifie la paix, et que plusieurs astronomes anciens et modernes ont considérée comme le soleil central de notre galaxie. Il est curieux de noter que les Babyloniens l’appelaient Temennu, la Pierre Fondamentale ; les Arabes, Al Wasat, le Centre ; et les Hindous, Amba, la Mère. Quant à l’amas stellaire des Pléïades, les Assyriens le nommaient Kimtu, la Famille, et les Hébreux et les Arabes, Kimah, le tas chez les premiers et le sceau chez les seconds, tandis que les Grecs le symbolisaient par sept jeunes filles ou sept colombes d’Aphrodite. Ils lui attribuaient une influence astrologique néfaste. Selon les Hindous, les Pléïades, sous le nom de Krittikas, sont les nourrices de Kârttikeya, dieu de la guerre, identique à Mars ; ce qui explique l’attribution par les astrologues de la nature martienne à cette constellation. Il est à signaler que comme pour les anciens Grecs, les Pléiades sont pour les aborigènes d’Australie les jeunes filles sacrées, jouant dans un corrobori ; pour les Indiens de l’Amérique du Nord, des danseuses sacrées ; pour les Lapons, un groupe vierges.

Il semble que l’importance astrologique des Pléiades s’explique principalement par le fait qu’à l’époque lointaine du 3e millénaire cet astérisme marquait le printemps. Le nom de la première demeure (ou division, sieou) du Zodiaque lunaire chinois est celui des Pléiades — Mao. En Polynésie, comme au Pérou, l’année commençait le jour où cette constellation réapparaissait pour la première fois au-dessus de l’horizon. Dans ces deux régions, comme dans la Grèce antique, elle est encore considérée comme patronne de l’agriculture. A.V.

2. La constellation des Pléiades jouaient un rôle de premier plan dans le système cosmogonicoreligieux des Incas. Divinisées pour leur lien avec le cycle agraire, elles étaient honorées en juin, à leur apparition qui coïncidait avec l’année nouvelle, par des sacrifices humains, où des victimes volontaires se jetaient dans un précipice. Elles étaient considérées comme les gardiennes des moissons, les maîtresses de la maturité des fruits, qui veillaient sur le maïs pour qu’il ne dessèche pas. Elles étaient, d’autres part, les divinités protectrices contre les maladies et spécialement le paludisme. Toujours dans l’ancien Pérou, le père Francisco de Avila note que les Yunca observaient soigneusement l’apparition de cette constellation : si les étoiles apparaissent un peu grandes, ils en concluent que l’année sera prospère ; si au contraire elles sont petites, c’est un signe de disette (AVIH).

3. Pour les peuples turcs d’Asie Centrale, l’apparition des Pléiades est annonciatrice de l’hiver. Une croyance similaire a existé en Europe et en Laponie. Les Yakoutes et de nombreux autres peuples altaïques disent qu’au milieu de la constellation se trouve un trou, perçant la voûte du ciel, c’est par ce trou que vient le froid (HARA, 129).

4. Les Mandjias, peuple du Soudan oriental, plaçaient dans les Pléiades le séjour des jolies femmes après leur mort ; selon d’autres aspects de leur mythologie, elles représentent des jeunes filles vierges, convoitées par le héros civilisateur Seto (l’araignée* mygale) représenté dans le ciel par la constellation d’Orion (TEGH, 110-111). A.G.


Dictionnaire des symboles, Jean Chevalier et Alain Gheerbrant, Éditions Seghers, 1973, tome IV, 448 pages, p. 28—9.

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